17, rue de la Sorbonne, 75005 Paris Salle D054 Egyptologie
Early Modern Representations of the Sovereigns of France and Bohemia: Genre, Language, and Confessional Politics
Workshop organised by Virginie Leroux – SAPRAT (EA 4116) École Pratique des Hautes Études (EPHE, PSL) and Marcela Slavíková Institute of Philosophy – Czech Academy of Sciences
9:45 a.m : Welcome and introduction
m.: Stéphane Péquignot: Diplomatic relations between France and Bohemia: a State of the Art
10:30 a.m.: Lucie Storchová: Comparing gendered portrayals of queens and lower nobility in Bohemian Neo-latin poetry around 1550
m.: Marta Vaculínová: The image of Maximilian II in contemporary Bohemian literature
11:30 a.m.: John Nassichuk: Portraits and Glimpses of Henri II in Latin Funerary Verse by Celestine Monks for the Royal Cardiotaph at the Celetines’ Monastery in Paris (1559-1563).
Lunch
m.: Virginie Leroux: Jean Papire Masson and Charles IX: historiography, hagiography, and biography in the style of Suetonius
2:30 p.m.: Claire Absil : Dorat and Baïf Confronting the Double Coronation of Henry III: Latin Poetry and the Polish Affair
m .: Vojtěch Pelc: Rudolf II in Latin Funeral Sermons and Laudatory Poetry of the Bohemian Lands
3:30 p.m.: Marcela Slavíková: Perspectives at the University of Prague on Ferdinand II of Styria and Frederick of the Palatinate : Parallel Rhetorical Strategies on the Two Kings of Bohemia
L’ERC Agrelita (dirigé par Prof. Catherine Gaullier-Bougassas et consacré à la réception et aux appropriations littéraires et artistiques de la Grèce ancienne par des auteurs non hellénistes entre 1320 et 1550) organise à l’université de Caen Normandie un cycle de séminaires dédiés aux « Usages et exploitations des mémoires de l’Antiquité », dont voici le programme :
USAGES ET EXPLOITATIONS DES MÉMOIRES DE L’ANTIQUITÉ
7 fév. 2025 | 14 h – 16 h 30 | Campus 1 | MRSH · SH 027
Émilie POIRÉ (EPHE-PSL · UR Histara), D’Antioche à Fontainebleau. Les divinités chasseresses des Cynégétiques d’Oppien
Gautier AMIEL (Université de Rouen Normandie · UR CÉRÉdI), Des usages d’un nouvel Antéros renaissant. Le cas de la pharmacopée amoureuse de Jean Aubery
7 mar. 2025 | 10 h – 12 h 30 | Campus 1 | Amphi Vauquelin | Bât. N · SA 112
André DESCORPS-DECLÈRE (Unicaen · UMR Craham), Sélectionner, couper et mélanger ou la réécriture médiévale de quelques portraits d’empereurs romains païens dans le premier Moyen Âge (VIe-Xe siècles)
Massimo LUCARELLI (Unicaen · UR Laslar), « La continuelle lecture des choses antiques ». Sur quelques usages politiques des mémoires historiques de l’Antiquité grecque et romaine chez Machiavel
28 mar. 2025 | 10 h – 12 h 30 | Campus 1 | Amphi Vauquelin | Bât. N · SA 112
Marie-Agnès LUCAS-AVENEL (Unicaen · UMR Craham), Mémoire et usages des passés antiques dans l’historiographie italo-normande de la fin du XIe siècle
Gabriel de BRUYN (Unicaen · UR HisTeMé), La place des statues grecques dans l’espace urbain de Rome, du Haut-Empire à l’Antiquité tardive
16 mai 2025 | 14 h – 17 h 30 | Campus 1 | MRSH · SH 027 Aleksandr MUSIN (Unicaen · UMR Craham), «…Car les Grecs sont des menteurs jusqu’à nos jours ». Le destin médiéval de la Grèce antique en Europe orientale : usages et abus
Hélène AVERSENG (Université d’Angers · UR CIRPaLL), Le Mystère de la Destruction de Troie de Jacques Milet. Du mythe antique au théâtre médiéval
Yann CALVET (Unicaen · UR Laslar), La chute de l’empire américain. Le cinéma américain face à la question du déclin
Deux journées d’étude consacrées au même thème seront organisées les jeudi 12 et vendredi 13 juin 2025 à l’université de Caen Normandie.
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ERC Advanced Grant Agrelita · The Reception of Ancient Greece in Pre-modern French Literature and Illustrations of Manuscripts and Printed Books (1320-1550): how invented memories shaped the identity of European communities. This project has received funding from the Euro- pean Commission’s Horizon 2020 Research and Innovation programme under grant agreement No 101018777.
Le Banquet de Phinée, in pseudo-Oppien, Cynégétiques, 1554, Paris, BnF, Grec 2736, fol. 33r.
La Société d’Études Médio- et Néo-latines a le plaisir d’annoncer la parution à la Librairie Droz des Œuvres Complètes de Jean Second en quatre volumes issus d’un travail de longue haleine. La direction scientifique a été assurée par Perrine Galand-Willemen et Virginie Leroux, l’édition a été effectuée par Werner Gelderblom et Pierre Tuynman ; l’ensemble réunit le travail d’Anne Bouscharain, Nathalie Catellani, Karine Descoings, Louise Katz, Suzanne Laburthe, Sylvie Laigneau-Fontaine, Arnaud Laimé, Catherine Langlois-Pézeret, Olivier Pedeflous, Sandra Provini, Astrid Quillien, Anne Rolet, Stéphane Rolet, Emilie Séris, Aline Smeesters. Cette édition de référence (ISBN 978-2-600-06354-8) comprenant 3100 pages rejoint la collection « Travaux d’Humanisme et Renaissance » ; elle peut être commandée sur le site de la Librairie Droz : https://www.droz.org/9782600063548.
Présentation par la Librairie Droz
Jean Second (Janus Secundus, 1511-1536) est l’un des poètes néo-latins de la Renaissance les plus doués de sa génération et l’un de ceux qui ont eu la plus grande influence sur la littérature européenne. Surtout connu pour ses Baisers, poèmes érotiques à succès, Second a laissé en réalité, malgré sa courte vie, une œuvre variée et ambitieuse, écrite dans un latin éblouissant, élaborée avec un soin tout stratégique pour obtenir une place de choix à la cour de Charles Quint. Issu d’une famille en pleine ascension sociale, il cultiva un réseau de savants, d’hommes de lettres et d’artistes dont témoignent ses poèmes, ses récits de voyage, sa correspondance et les médailles qu’il grava. Le texte latin édité est celui du manuscrit préparatoire d’Oxford (le plus fidèle aux choix de Second), en partie autographe, parfois transcrit ou remanié par les frères du poète, Marius et Grudius. Une équipe de spécialistes s’est constituée pour éditer, traduire et analyser cette œuvre remarquable, en corrigeant l’image un peu mièvre d’amoureux passionné véhiculée par une critique héritière du romantisme.
La SEMEN-L a le plaisir de vous informer de la tenue prochaine d’un colloque international faisant intervenir plusieurs de nos adhérents :
Colloque international organisé par Émilie Séris
Portraits d’hommes et de femmes illustres de l’Antiquité au XVIIe siècle
10, 11, 12 octobre 2023
Cliquez sur cette image pour télécharger le programme en .pdf.
Programme
MARDI 10 OCTOBRE 2023
INHA, Salle Giorgio Vasari
13h30 Accueil des participants
13h45 Ouverture du colloque
TRADITIONS ROMAINES
14h00 Marjolaine Benaïch (Sorbonne Université). « Le rôle des galeries de summi uiri dans la construction de l’identité municipale : L’exemple de Tusculum sous la République et aux débuts de l’Empire »
14h30 Emmanuelle Rosso (Sorbonne Université). « Histoires croisées, mémoires partagées : les portraits sculptés d’hommes illustres et leurs inscriptions en Gaule romaine »
15h00 Discussion et pause
15h30 Ida Mastrorosa (Université de Florence). « Femmes illustres et femmes ordinaires chez Suétone : entre modèles institutionnels et paradigmes éthiques »
16h00 Clémence Pelletier (Sorbonne Université). « Une étude du Περὶ ἐπισήμων πορνῶν perdu de Suétone : la question de la tradition antique des biographies de femmes et de courtisanes »
16h30 Carlos Levy (Académie des Inscriptions et des Belles Lettres). « La folie en représentation. Caligula vu par Suétone et Philon d’Alexandrie »
17h00 Discussion
MERCREDI 11 OCTOBRE 2023
Sorbonne, Salle des Actes
CATALOGUES MÉDIÉVAUX
9h00 Christian Förstel (Bibliothèque Nationale de France). « Le manuscrit parisien des Sacra Parallela : simple anthologie illustrée ou manifeste iconodoule ? »
9h30 Susanna Gambino-Longo (Université Lyon 3). « L’illustration des passions dans le De uiris de Pétrarque »
10h00 Discussion et pause
10h30 Adrian Faure (Sorbonne Université). « Les tituli de Scipion l’Africain dans les programmes iconographiques du Quattrocento »
11h00 Anne Raffarin (Université Paris Est Créteil). « Homines clari et inuentores : le traitement de la rubrique “ hommes illustres ” dans les sommes encyclopédiques à la fin du Quattrocento »
11h30 Catherine Gaullier-Bougassas (Université de Lille, ERC AGRELITA). « Biographies masculines et portraits féminins : deux modes d’écriture différents dans l’Histoire de la première destruction de Troie ? »
12h00 Discussion et déjeuner
CONSTRUCTIONS HUMANISTES
14h00 Sandrine Hériché-Pradeau (Sorbonne Université). « Portraits de la reine Zénobie : de Boccace à Jean Bouchet »
14h30 Laurence Boulègue (Université de Picardie Jules Verne-IUF). « Les héroïnes de Mario Equicola : des femmes illustres pro mulieribus »
15h00 Discussion et pause
15h30 Thomas Baier (Université de Würzburg). « Eobanus Hessus présenté par Camerarius »
16h00 David Amherdt (Université de Fribourg). « La Prosopographia heroum Germaniae de Heinrich Pantaleon : l’exemple des notices sur les humanistes suisses »
16h30 Frank Lestringant (Sorbonne Université). « Hommes illustres d’Amérique d’André Thevet : d’un codex aztèque au portrait des Indiens d’Amérique dans leur totalité »
17h00 Discussion
JEUDI 12 OCTOBRE 2023
Sorbonne, Salle des Actes
RECUEILS ET COLLECTIONS (XVIe-XVIIe SIÈCLES)
9h00 Hartmut Wulfram (Université de Vienne). « Une histoire littéraire collective. Les Elogia uirorum litteris illustrium de Paolo Giovio et leurs modèles antiques »
9h30 Virginie Leroux (École Pratique des Hautes Études). « Heroes, Heroinae, Caesares et Icones : typologie des catalogues de héros dans les recueils épigrammatiques néo-latins »
10h00 Lorène Bellanger (Sorbonne Université). « Les portraits d’hommes illustres dans les Carmina de Jean Commire (1678) »
10h30 Discussion et pause
11h00 Diane Bodart (Université de Columbia). « Femmes illustres en habit de nonne dans l’Empire espagnol »
11h30 Patricia Eichel-Lojkine (Université du Maine). « Sur Le Jeu des Reynes Renommées de Desmarets de Saint-Sorlin (1644) »
La SEMEN-L a le plaisir de vous faire connaître la parution de : Le nu dans la littérature de la Renaissance, un ouvrage collectif sous la direction d’Émilie Séris, paru aux Presses Universitaires François-Rabelais, dans la collection « Renaissance ». Il est issu d’un colloque tenu à la Sorbonne du 22 au 24 novembre 2018.
Le nu a-t-il eu à la Renaissance le même succès dans la littérature que dans les arts ? Ce livre propose une première synthèse sur le sujet en identifiant une variété de nus dans les textes de la Renaissance et en analysant leurs modèles, leurs significations et leurs procédés d’écriture.
Retravaillant les exemples antiques et médiévaux, la littérature de la Renaissance a développé les fonctions comique et érotique du nu. En effet, dans la suite de la tradition médiévale, la dérision du corps s’exprime dans la nouvelle en langue italienne, dans l’épigramme latine, mais aussi parfois dans l’élégie ou dans les récits des grandes découvertes, mettant à nu la condition humaine. Toutefois, si le nu alimente à la Renaissance la satire des mœurs, il n’en continue pas moins de célébrer l’amour et la fécondité : littérature et arts perpétuent la fonction érotique du nu archaïque en l’adaptant aux cadres du mariage chrétien. Enfin, il apparaît que les nouvelles théorisations humanistes du corps, qui ont bouleversé sa figuration en art, ont aussi modifié les codes de sa description littéraire : les recherches sur la symétrie du corps humain, sur l’anatomie ou sur le mouvement n’ont pas manqué non plus d’influencer le nu dans la littérature de la Renaissance.
Le Siècle des vérolés. La Renaissance européenne face à la syphilis, anthologie dirigée par A. Bayle, avec la collaboration de B. Gauvin, Grenoble, Jérôme Millon, « Mémoires du corps », 2019, 384 p., 26€
Passionnante plongée au cœur d’une pandémie qui soudain déferle sur l’Europe humaniste, conjuguant en un ballet funèbre le sexe et la mort, rongeant les corps, corrodant l’imaginaire collectif, cette anthologie se compose d’une centaine de textes qui évoquent l’apparition terrifiante de la vérole à la fin du XVe siècle. Organisée autour de douze chapitres thématiques, elle permet d’appréhender les enjeux de la découverte de ce nouveau mal, tant sur le plan scientifique et médical, que d’un point de vue plus intime, personnel. Elle éclaire l’influence prépondérante de ce mal sur les représentations idéologiques, politiques, morales et sur la littérature. Les extraits sélectionnés, composés entre 1495 et 1623 et souvent inédits, sont des traductions françaises originales d’œuvres écrites en latin, italien, espagnol, portugais ou anglais ; quant aux textes français du XVIe siècle, ils sont présentés dans une orthographe modernisée.
À travers une riche diversité d’auteurs, de pays et d’époques, cet ouvrage montre la profonde difficulté que les hommes de la Renaissance ont éprouvée à décrire et comprendre un mal jusqu’alors inconnu et devenu en quelques années un fléau universel, signe d’opprobre et de souffrance. Se jouant des frontières géographiques et des genres littéraires, la vérole se trouve ainsi au centre de la réflexion contemporaine et s’invite dans le discours des lettrés et savants, qu’ils soient médecins, historiens, voyageurs, moralistes, théologiens ou encore poètes. Car, au-delà du savoir scientifique proprement dit, cette anthologie cherche surtout à éclairer quelle image de la maladie se forge dans les œuvres littéraires contemporaines, à travers les tout premiers témoignages qu’elle suscite.
De nombreux textes reviennent sur l’étonnante variété des noms attribués à la vérole et sur la conséquence de cet embarras à nommer, la difficile constitution d’un savoir autour de l’origine, des causes, des symptômes et des remèdes à donner au mal. Très vite la vérole suscite une prise de position idéologique : réprobation, soupçon, discrimination deviennent alors le lot des malades, pestiférés d’un genre nouveau qui cristallisent la grande peur de leurs contemporains. D’autres textes prennent pour objet le portrait du corps souffrant, faisant du vérolé un type littéraire, pathétique ou grotesque. Au-delà de l’apparence physique, ce sont aussi les relations sociales que la vérole transforme totalement : la maladie, associée à l’intempérance sexuelle, fait honte, elle provoque suspicion mise au ban, elle devient l’accusation et l’injure par excellence dans la satire. La fin de l’anthologie explore par ailleurs le pouvoir créateur de la maladie à travers la fiction, en montrant combien invention et écriture permettent d’une certaine manière de conjurer la maladie et de s’en affranchir.
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JEUDI 22 NOVEMBRE 2018
14h00 Accueil des participants
MODÈLES FIGURÉS, MODÈLES LITTÉRAIRES
14h30 Valérie Naas (Sorbonne Université Lettres), « Approches sur le nu dans l’Antiquité »
15h00 Gilles Sauron (Sorbonne Université Lettres), « Le nu dans la grande fresque dionysiaque de la villa des Mystères à Pompéi »
15h30 Emmanuelle Rosso (Sorbonne Université Lettres – IUF), « Portrait et nudité à Rome : le nu féminin dans la statuaire d’époque impériale »
Discussion et pause
16h30 Francesca Mestre (Université de Barcelone), « Tableaux et statues : le corps humain dans les textes grecs de l’époque impériale (Lucien, les Philostrate, Callistrate) ».
17h00 Julien Maudoux (Université Bordeaux Montaigne) : « Naturae desipientis opus : le corps usé des vieilles femmes dans la littérature médiévale »
Discussion
VENDREDI 23 NOVEMBRE 2018
MISÈRE ET DIGNITÉ DE L’HOMME
9h00 Evrard Delbey (Université de Nice) : « La nudité dans Le Décaméron : questions d’éthique et de rhétorique? »
9h30 Donatella Coppini (Université de Florence) : « Il nudo comico-epigrammatico nella letteratura umanistica »
10h00 Nicolas Casellato (Sorbonne Université Lettres), « ‘Nu comme un vers’: mise en scène de soi et réélaboration parodique de la nudité dans les Amores de Conrad Celtis (1502) »
Discussion et pause
11h00 Guillaume Cassegrain (Université de Grenoble), « Le nu à la renverse. Regard indiscret sur le corps dans les images de la première modernité »
11h30 Susanna Gambino Longo (Université Lyon III-Jean Moulin), « Primitivisme et nudité : l’homme demi-nu aux origines de la civilisation »
12h00 Marc Deramaix (Université de Rouen), « Nu vulgaire et nu latin : le nu et son vêtement chez Sannazar ».
Discussion et déjeuner
DÉVOILEMENTS ÉROTIQUES ET SYMBOLIQUES
14h30 Giuseppe Germano (Université de Naples), « Rappresentazione della nudità tra vita familiare e gioco amoroso nella poesia di Giovanni Pontano »
15h00 Roland Béhar (ENS Paris), « Nuda agitans choros… : valeurs du nu féminin dans la poésie de Garcilaso de la Vega »
15h30 John Nassichuk (Université de l’Ontario) : « La nudité de Suzanne dans une tragédie latine de Charles Godran (1571) »
Discussion et pause
16h30 Nadeije Laneyrie-Dagen (ENS Paris), « Symbolique érotique et gestuelle : le topos de la femme au bras levé »
17h00 Virginie Leroux (EPHE), « Sommeil et nudité »
Discussion
SAMEDI 24 NOVEMBRE 2018
LA FABRIQUE DU NU
9h00 Thomas Baier (Université de Würzburg),
« Conspectu ut primo stupuit… Le portrait féminin chez Cristoforo Landino »
9h30 Antonietta Iacono (Université de Naples),
« Il corpo di Adone nel De hortis Hesperidum
di Giovanni Pontano »
10h00 Gabriele Bucchi (Université de Lausanne),
« Le corps contemplé et le corps rêvé : le nu dans le Roland Furieux »
Discussion et pause
11h00 Anne-Pascale Pouey-Mounou (Sorbonne Université Lettres – IUF), « Portraits de nus dans la poésie de la Pléiade »
11h30 Julien Goeury (Université de Picardie),
« Parlons aussi des membres seulement / Que l’on peut voir sans honte découverts » : La question du corps dénudé dans les recueils de Blasons anatomiques.
Vous trouverez ci-dessous le bulletin n°4 de la SFENL, présentant les activités de l’association en 2001, la bibliographie des parutions en néo-latin, les colloques, séminaires, cours et congrès de l’année.