Nous avons le plaisir d’annoncer la parution d’À l’école des humanistes. Pédagogies de la Renaissance, entre manuscrit et imprimé, un ouvrage sous la direction scientifique de Lucie Claire, Martine Furno, Anne-Hélène Klinger-Dollé, chez Droz dans la collection en accès libre « Eruditio ». En voici la présentation :
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La Bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux du XIIe au XVIIIe siècle, Tome II, manuscrits conservés, 4ème partie, sous la direction de Caroline Heid et Jean-Pierre Rotschild, Paris, CNRS Editions, 2024
La Bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux du XIIe au XVIIIe siècle, Tome II, manuscrits conservés, 4ème partie, sous la direction de Caroline Heid et Jean-Pierre Rotschild, Paris, CNRS Editions, 2024, 424 p.
La bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux fut un centre de première importance de la vie spirituelle et intellectuelle en France et en Europe au Moyen Âge. André Vernet en a édité les anciens catalogues en 1979 dans la collection « DER » (La bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux du XIIe au XVIIIe siècle, t. I) et ses collaborateurs de la section de codicologie de l’IRHT, Jean-Paul Bouhot et Jean-François Genest, y ont publié en 1997 les notices descriptives de plus de la moitié des mille et quelques manuscrits subsistants du catalogue de 1472 : t. II, 1re partie, Manuscrits bibliques, patristiques et théologiques. La section latine de l’IRHT a continué ce programme à partir de 2007, ayant à décrire de nombreux recueils de pièces multiples : florilèges, sermonnaires, collections hagiographiques, livres liturgiques. En 2021 est paru sous la direction des présents éditeurs le tome II, 3e partie, Sermons et instruments pour la prédication (prix Duchalais de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres en 2023), premier publié de quatre volumes qui couvriront en outre, selon l’ordre des cotes du catalogue de 1472, d’autres manuscrits de sermons (t. II/2) ; diverses disciplines (t. II/4, ce volume) ; la liturgie (t. II/5).
147 manuscrits sont ici décrits, de droit (66), médecine (8), grammaire (12), logique (5), rhétorique (9), poésie (15), philosophie (25), usages monastiques (7). Le détail des notices est de nature à éclairer l’histoire de l’enseignement du droit à Paris et à Orléans, les traditions de gloses des textes classiques et philosophiques, la prosopographie de Clairvaux et enfin l’histoire de sa bibliothèque, en partie le produit de son scriptorium, mais aussi ensemble organisé et vivant du XIIe au XVIIIe siècle.
Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°22 (2024) de la SEMEN-L (p. 47-48).
Sylvie Lefèvre, La Magie du codex. Corps, folio, page, pli, cœur, Paris, Les Belles Lettres, 2023 (Claire Absil)
Sylvie Lefèvre, La Magie du codex. Corps, folio, page, pli, cœur, Paris, Les Belles Lettres, 2023, 291p. (recension originellement publiée sur le site d’Antiquité-Avenir, août 2024)
Cette recension de Claire Absil a été publiée dans le Bulletin de liaison n°22 (2024) de la SEMEN-L (p. 46-47).
En ouvrant La Magie du codex, on s’attend à une nouvelle histoire du livre venant compléter les nombreuses études qui existent sur le sujet, telles que L’apparition du livre de Lucien Febvre (1958), l’Histoire du livre de Bruno Blasselle (1997), ou encore La main de l’auteur et l’esprit de l’imprimeur de Roger Chartier (2015). L’autrice, Sylvie Lefèvre, est d’ailleurs familière du sujet : chercheuse associée de l’Institut de Recherche et d’Histoire des Textes, elle a elle-même édité dans de prestigieuses maisons d’éditions françaises différents textes du Moyen Age, par exemple, Le Roman de Renart et textes épigones en 1998, aux éditions Gallimard, dans la Pléiade ; ou encore L’Heptaméron de Marguerite de Navarre, édité avec Nicole Cazauran, en 2013, aux éditions Champion. Or, un simple coup d’œil sur le sommaire nous révèle le véritable enjeu de l’ouvrage, centré sur la matérialité même de l’objet livre depuis son « ouverture » (p.17-61) jusqu’à son « envol » (p.247-253) après la lecture.
La Magie du codex se compose de chapitres thématiques, qui portent sur les caractéristiques de l’objet livre. L’autrice présente ainsi diverses trouvailles des copistes d’autrefois, et des imprimeurs d’aujourd’hui pour jouer avec les contraintes matérielles du livre : pages, plis, trous dans la page, reliure… Pour illustrer ses exemples, elle puise dans divers registres et diverses époques. À première vue, le tout pourrait sembler hétéroclite ; mais en réalité, à travers cet ouvrage ludique, Sylvie Lefèvre invite le lecteur à se plonger dans ceux qu’elle cite, et à se montrer attentif aux moindres détails. L’ouvrage se divise en six chapitres, « Ouvertures », « Seuils », « Plans et affichages », « Entre les pages », « La magie du pli », et « L’envol. De l’architecture à l’anatomie ». Les deux premiers chapitres, « Ouvertures » (p. 15-63) et « Seuils » (p. 65- 97), nous font progressivement entrer dans le livre. « Ouvertures », le plus technique de tous, explique quelles ont été les conséquences de l’apparition du codex, apparu progressivement au cours des Ier et IIe siècles, lors d’une « lente révolution ». Ensuite, Sylvie Lefèvre explique précisément les caractéristiques matérielles du codex ; pour éclairer son propos, elle n’hésite pas à recourir à des schémas ou à des photographies. On comprend ainsi la spécificité du codex inventé en Occident : il se distingue non seulement du volumen, mais aussi des inventions ayant eu lieu en Chine, à savoir le « livre accordéon », apparu sous la dynastie Tang (618-907), ou le « livre papillon », variante du livre codex, présentant des feuilles assemblées différemment, et apparu à la fin de la même époque et au début de la dynastie Song (907-1279). Enfin, l’autrice rend compte d’éléments qui, loin d’être anecdotiques, sont le résultat de réflexions du copiste, puis de l’éditeur actuel. En effet, dès ce premier chapitre, notre attention est attirée sur des éléments qui pourraient paraître secondaires : la pagination ; la première page d’un chapitre, toujours à droite ; la page de titre, assortie de nombreuses informations… Sylvie Lefèvre change notre regard sur ces éléments qui, d’ordinaire, n’accrochent pas le regard : ainsi, il n’y a pas toujours eu de pagination ; de même, la page de titre, qui nous paraît aujourd’hui être un passage obligé, n’existe pas dans les manuscrits occidentaux, qui commencent par l’incipit, ou par un intitulé plus ou moins long, comme « Ci commence le Roman de la Rose ». Autrefois, les informations principales apparaissaient plutôt à la fin du volume, dans le colophon, qui donnait le nom de l’auteur, le titre, l’identité du copiste et celle de son commanditaire, la date et le lieu de copie. Dans le deuxième chapitre, « Seuils », Sylvie Lefèvre évoque divers éléments signalant l’entrée dans le livre ou dans un nouveau chapitre : une gravure, une enluminure, une illustration… ou encore un texte à l’adresse du lecteur, comme dans La Fée aux miettes (1832) de Charles Nodier. Dans tous ces éléments, elle met en lumière l’emploi régulier et continu de la métaphore architecturale depuis la célèbre formule horatienne : Exegi monumentum aere perennius / Regalique situ pyramidum altius (Odes, III, 30 « J’ai achevé un monument plus durable que le bronze / plus haut que les pyramides des rois »). Le livre est alors représenté comme un monument dans lequel on entre ; la dimension architecturale peut être signalée dès le titre de l’œuvre – par exemple, La Cité des Dames de Christine de Pizan (1404-1405), ou Le Temple de Boccace de Georges Chatelain (1463-1464) – mais peut aussi apparaître de manière plus subtile, plus fine. Ainsi, dans le texte de La Fée aux miettes, pour déprécier ironiquement son ouvrage, le narrateur propose l’analogie entre son livre et un labyrinthe : il fait alors allusion à ce motif qui figurait à l’entrée ou à la sortie des livres les plus anciens, comme pour protéger les seuils du volume. Enfin, certaines enluminures désignent clairement la séparation entre le monde extérieur et le monde du livre : par exemple, dans le Livre d’heures de Marie de Bourgogne, deux enluminures font figurer, au premier plan, l’espace de la lecture, de la prière, et au second plan, l’espace représenté par le livre de prière (Vienne, ÖNB 1857, f. 14v, Livre d’heures dit de Marie de Bourgogne, Maître de Marie de Bourgogne, fin des années 1470) ; de même, un frontispice d’une édition de Strabon du XVe siècle fait voir la remise du livre en mains propres à son destinataire (Albi, Bibliothèque municipale 77, ff. 3v-4, 1459. Strabon, De Situo orbis geographia, traduction en latin par Guarino de Vérone, peintures de Giovanni Bellini et copiste padouan). Les quatre derniers chapitres prennent plutôt la forme de florilèges thématiques, éclectiques, qu’on pourra lire de manière linéaire ou bien en suivant son instinct, guidé par telle ou telle image. Tous portent sur le jeu entre le texte et la matérialité du livre. Les troisième et cinquième chapitres sont particulièrement amusants à lire : on y voit comment le copiste, ou l’auteur, réussit à créer le livre à l’image de son support. « Plans et Affichages » (p.98-145) montre comment un auteur peut tirer parti de défauts du papier. Ainsi, au siècle dernier, James Joyce conserve volontairement dans son roman Ulysse une phrase inversée, apparue parce que l’encre avait traversé la page ; un autre exemple, plus ancien, est celui d’un manuscrit unique datant du XIIIe siècle, le conte intitulé Le Roman du roi Flore et de la belle Jehanne : il y est relaté le viol de Jeanne autour d’un trou de la page. De surcroît, un passage entier peut être construit autour d’un jeu entre le texte et la matérialité du livre, comme l’ouvrage pour enfants percé en son centre, Le livre qui avait un trou (2000) ; on peut citer nombre de livres d’enfants construits sur ce procédé, par exemple, ceux qui proposent de faire bouger des personnages en leur sein, grâce à des languettes de papier. Parfois, cependant, les particularités visuelles du livre, ajoutées ou non, servent surtout d’ornementation. Ainsi, dans le Livre d’heures de Marie de Bourgogne (1477), cité plus haut, de nombreux dessins en trompe l’œil donnent une impression de volume, grâce à des motifs ajoutés en marge du texte. Comme un interlude entre les troisième et cinquième chapitres, le quatrième se focalise sur ce qui est « Entre les pages » (p.145-199). Sont alors mentionnés les objets utilisés pour marquer l’endroit où on s’est arrêté : quand on ne garde pas la page avec la main, on utilise les objets dont on dispose, un signet (parfois fixé au livre grâce à la pipe en métal le long de la reliure), un ruban, une fleur, un papier ordinaire… à défaut, on fait une « corne » ou une « oreille » à la page. Apparaissent aussi les objets insérés dans le livre, souvent pour protéger les images, dans les livres religieux et autres : des « serpentes », papiers transparents, ou des voiles en tissu. L’avant-dernier chapitre, intitulé « La Magie du pli » (p.200-243) présente divers jeux sur la forme du livre. Ce peut être un jeu sur le pli qui divise une double page ; sur la ligne qui sépare les cases d’une bande dessinée ; sur la couture du livre ; ou sur la forme même de l’ouvrage. C’est dans ce chapitre qu’est évoquée l’image qui fait la couverture du livre : le Livre d’heures à l’usage d’Amiens (Paris, BnF lat. 10536, 16,5 x 9 cm), livre en forme de cœur. Enfin, l’autrice commente aussi une illustration qui aurait échappé à un lecteur peu vigilant, dans le Camp de la place royalle (1612), où sont présentés dans une double page les portraits de deux souverains destinés à s’unir : à gauche, Louis XIII, et à droite, Anne d’Autriche, infante d’Espagne. Ainsi, fermer le livre, c’est reproduire leur embrassade ! Le livre s’achète sur une note poétique, avec le thème de « L’envol. De l’architecture à l’anatomie » (p.244-253). Surgissent, tour à tour, des livres personnifiés, voire humanisés. On y découvre Ovide faisant ses adieux à son livre dans les Tristes (I,1), ou encore le livre du Champion des dames de Martin Le Franc (1442), se plaignant des blessures que lui ont causées des courtisans du duc de Bourgogne ; ou enfin Cent mille milliards de poèmes de Queneau (1961), dont les dizaines de languettes se dressent comme des cheveux à l’ouverture du livre ; ainsi émancipé, le livre peut alors prendre lui-même son envol, à l’instar de la colombe-livre qui fait l’affiche du 32e salon du Livre de 2012. À la suite de l’autrice, on peut s’exclamer : « Scripta volant, verba manent » !
Claire Absil
Cette recension de Claire Absil a été publiée dans le Bulletin de liaison n°22 (2024) de la SEMEN-L (p. 46-47).
Cours et séminaires 2024-2025
Séminaire Réceptions de l’Antiquité – Nantes Université
Lien : https://classnantes.hypotheses.org/10839
RECEPTIONS_ANTIQUITE_PROGRAMME_24_25Le Département de Lettres classiques et Sciences de l’Antiquité de Nantes Université inaugure, à la rentrée 2024, un cycle de conférences consacrées aux réceptions de l’Antiquité.
Le programme de cette première année se concentre, plus spécifiquement, sur la transmission et la réception de l’Antiquité aux XVe et XVIe siècles (enjeux littéraires, philologiques et esthétiques).
Toutes les séances seront accessibles en distanciel.
Organisation : Déborah Boijoux (Deborah.Boijoux at univ-nantes.fr)
- lundi 2 décembre (9h30-12h) :
-Sylvie Laigneau-Fontaine (U. Bourgogne) : “Des Muses et des Géants en Bourgogne au XVIe siècle : Jean Girard et Jacques Guijon”
-Anne Rolet (U. Rennes 2) : “L’Égypte rêvée de la Renaissance”
- mardi 11 février (10h-12h) :
-Virginie Leroux (EPHE) : “Mythologies du sommeil dans l’Antiquité et la Renaissance”
- jeudi 6 mars (14h-16h) :
-Mathieu Ferrand (U. Grenoble Alpes) : “Publier la comédie néo-latine, du manuscrit à l’édition critique”
- mercredi 19 mars (14h-16h) :
-Natalia Bercea Bocskai (U. Paris III) : “Relectures du mythe troyen chez Hélisenne de Crenne”
- lundi 5 mai (9h30-12h) :
-Malika Bastin-Hammou (U. Grenoble Alpes) : “Penser la traduction dramatique au XVIe s. : l’apport des paratextes aux éditions et traductions du théâtre grec”
-Pascale Paré-Rey (U. Jean Moulin – Lyon 3) : “Réception de la tragédie latine à travers l’histoire culturelle de ses éditions”
Colloques, congrès et programme de recherche 2022-2023
- 22-24 septembre 2022, Prague, Charles University : « Medialatinitas IX : Nostalgia in/and the Middle Ages», IXe Congrès international de latin médiéval. Contact : lucie.dolezalova@ff.cuni.cz
- 28 septembre 2022 (13h45-18h), Bordeaux, Musée d’Aquitaine : « Une histoire d’absence ou un siècle oublié ? Témoigner des Juifs dans la France prémoderne », org. par Chayes (IRHT)
- 28-30 septembre 2022, Bari, Università degli studi di Bari : « Percorsi di filologia italiana », journée des doctorants et des docteurs, par la Società dei Filologi della Letteratura italiana. Contact : societadeifilologi@gmail.com
- 4 octobre-12 novembre 2022, Bordeaux, Université Bordeaux Montaigne : « Moi(s) Montaigne », 5e édition : « Montaigne à Bordeaux, Montaigne et Bordeaux », manifestation org. par le Centre Montaigne. Contact : LeMoisMontaigne@u-bordeaux-montaigne.fr. Programme complet : http://centre- huma-num.fr
- 7 octobre, Paris, Sorbonne (EPHE, Salle Delamarre) : « Sens interdit(s). Autour du Livre de Gomorrhe de Pierre Damien (1051) », par J.-F. Cottier (Université de Paris VII) et C. Giraud (Université de Genève/Ephe-PSL). Contact : jffcottier@gmail.com
- 13-14 octobre 2022, Paris, Bibliothèque Sainte-Barbe : « Créer une mémoire des passés antiques », Journées d’étude par C. Gaullier-Bougassas dans le cadre du projet ERC AGRELITA. Contact : catherine.bougassas@univ-lille.fr
- 18-19 octobre 2022 (10h-18h), Avranches, Bibliothèque, Scriptorial : « Apports de la musicologie médiévale à la valorisation muséographique du Scriptorial d’Avranches », org. par B. Étienne (Bibliothèque d’Avranches), -Fr. Goudesenne (IRHT), B. Jehan (Musée d’Avranches) et X. Terrasa (Musée de Chartres)
- 14-16 novembre 2022, Strasbourg : « Pourquoi traduire ? La traduction et ses enjeux de l’Antiquité gréco- romaine à l’âge classique », org. Chapot, B. Guion, A. Molinié-ARBO, J.-L. Vix
- 28-29 novembre 2022 (9h-18h), Naples, Complexe monumental de San Lorenzo Maggiore : « Devotional practices, pilgrimage activities and space organization in Early Medieval monasteries (5th-10th centuries) », par D. Ferraiuolo (IRHT)
- 1-2 décembre 2022, Créteil, UPEC : « “Reverence de l’antiquaille” et créativité : les diverses formes de la transmission du patrimoine textuel antique à la Renaissance », Colloque international org. par N. Le Cadet. Contact : lecadet@u-pec.fr
- 5 décembre 2022 (9h- 18h), Paris : « Traductions monastiques du Nord-Est de l’espace d’oïl au XIIe siècle », org. par Zinelli (EPHE, PSL) et P.A. Martina (IRHT)
- 13-14 décembre 2022, Aix en Provence, MSH : « Construire l’église-monument par les (Ve-XIIe siècle) », colloque international dans le cadre du projet E-CCLESIA. Contact : amu.fr et andreas.hartmann-virnich@univ-amu.fr
- 13 janvier 2023 (10h- 18h), Tours : « Instrumenta laboris et ‘companions’. Les aides à la lecture de la Bible (mss latins et grecs) », F. Barone (IRHT) et A. Perrot (univ. De Tours)
- 2 février 2023, groupe RELICS : table ronde en ligne sur l’avenir des études du latin, org. E. Paillard (Université de Sydney / Universität Basel), S. Smets (Ludwig Boltzmann Institute for Neo – Latin Studies / University College London) et Wouters (Institut d’histoire et de culture des Pays-Bas). Contact : reliques@ugent.be.
- 11 février 2023, Sorbonne Université (Maison de la recherche, rue Serpente, salle D223) : « Aux seuils des œuvres : réseaux et amitié à la Renaissance », Journée accessible en ligne, N. Souhait nicolas.souhait@sorbonne-universite.fr
- 2-3 mars, Bordeaux : Aquitaniae latinae (HumanA – SEMEN-L), A. Bouscharain et V. Giacomotto- Charra
- 6-7 mars 2023 (10h-18h), Orléans, Centre Augustin-Thierry : « Fragmentologie et remembrement de livres liturgiques notés », org. par -Fr. Goudesenne et G. Kagan (IRHT)
- 9-11 mars 2023, San Juan, Puerto Rico : congrès annuel de la Renaissance Society of
- 31 mars 2023, 14h, Université de Caen, amphi MRSH, « Prima sedes a nemine judicatur – Nul ne peut juger le premier siège » : entre impiété, immunité et sainteté, la figure controversée de saint Marcellin, pape et martyr (296-404) », séminaire par C. Jacquemard, B. Gauvin (Unicaen, CRAHAM)
- 15 avril 2023, Sorbonne Université (Maison de la recherche, rue Serpente, salle D323) : Société d’Études Médio- et Néo-Latines (SEMEN-L), IVe journée des jeunes chercheuses et chercheurs, org. J. Maudoux, P. Mourgues et Pinguet
- 24-25 avril 2023, Lyon, Université Jean Moulin-Lyon III : « Citer les Anciens à la Renaissance. La citation et la fabrique de l’Antiquité dans les éditions des textes Analyse et exploration numérique », colloque organisé dans le cadre de l’ANR « IThAC » (L’invention du théâtre antique) par HiSoMA UMR 5189 Axe B Cultures anciennes et temporalités. Contact : sarah.gaucher@univ-lyon3.fr
- 28-29 avril 2023, Strasbourg, Université de Strasbourg (Palais Universitaire) et Sélestat (Bibliothèque Humaniste) : « La vie et l’œuvre du poète néo-latin Johann Sapidus de Sélestat (1490-1561) », colloque international par J. Hirstein et M. Jeannot-Tirole. Contact : hirstein@unistra.fr
- 17-21 mai 2023, Cerisy-la-Salle : « 1023-2023 : le Mont Saint-Michel en Normandie et en Europe », colloque par F. Paquet, M. Labatut et Ch. Maneuvrier
- 12-14 juin 2023, Fribourg, Université de Fribourg : « S’affranchir des frontières. Temps, espaces, acteurs, 1400-1630 », colloque inaugural de l’Institut fribourgeois d’étude de la Renaissance et de l’époque moderne (IFR). Contact : renaissance@unifr.ch
- 14 juin 2023 (10h-17h30), Campus Condorcet : « Les textes et les manuscrits du .. pour le plaisir », Journée thématique de l’IRHT, org. par S. Barret, J. Frońska et M.-L. Savoye (IRHT)
- 15-16 juin 2023, École supérieure de journalisme de Lille, « L’invention d’origines grecques dans les cultures textuelles et visuelles de l’Europe pré-moderne (1100-1600) », org. C. Gaullier-Bougassas (ERC AGRELITA)
- 3-6 juillet 2023, Leeds : « Networks and entanglements between centre and periphery in late Middle Ages. Italians and ultramontanes », International Medieval Congress, org. par A.Horeczy, Institute of History, Polish Academy of Contact: ahoreczy@ihpan.edu.pl
- 12-14 juillet 2023, Kiel : « The Poetics of Things Past. Transmission of Knowledge in Verse in Antiquity and Early Modern Times », org. Elisabeth Schwab et S. Feddern.
- 26-27 octobre 2023, Nantes, Nantes Université : « Sens et contresens », colloque international org. C. Lombez et Méniel. Information : https://www.fabula.org/bo/suggestion- actualite.html?code=904dec0149c5d55ea03d6469ba2dfb18f9030b71
Projets de recherche :
- « Burgundia humanistica » : programme dirigé par S. Laigneau-Fontaine, sur les humanistes bourgui- gnons (XVIe et XVIIe siècles). Projet soutenu par le Conseil Régional de Bourgogne, par un finance- ment et un contrat doctoral (Elena Ghiringhelli, la Continuation des Fastes d’Ovide par le Dijonnais Claude-Barthélemy Morisot (1649), éidtion, traduction, commentaire du livre VII, sous la dir. de S. Lai- gneau-Fontaine, Dijon, et Valérie Wampfler, u. Reims). Plusieurs travaux terminés ou actuellement en cours appartiennent à ce programme, par exemple la publication par N. Istasse de Joannes Ravisius Tex- tor, un régent humaniste à l’aube de la Renaissance française (Genève, Droz, 2020) ou l’édition, tra- duction, commentaire en cours de la Gigantomachie de l’Autunois Jacques Guijon (1658). Le corpus est immense et varié (textes de droit, de médecine, tumuli, éloges, correspondances, poésies diverses…). Contact : sylvie.laigneau-fontaine@u-bourgogne.fr.
- « CREAMYTHALEX : La réception de l’Antiquité grecque en Europe ». Le projet a d’abord porté sur la figure d’Alexandre le Grand et les travaux permis par un financement ANR ont été publiés dans la collection « Alexander redivivus » créée durant ce projet chez Brepols (http://www.brepols.net/Pages/BrowseBySeries.aspx?TreeSeries=AR). Il s’est ensuite élargi à la récep- tion de l’Antiquité grecque d’avant Alexandre. Une nouvelle collection a ainsi été créée chez Brepols : « Recherches sur les Réceptions de l’Antiquité », direction Catherine Gaullier-Bougassas (http://www.brepols.net/Pages/BrowseBySeries.aspx?TreeSeries=RRA&fbclid=IwAR0MNaU1ZLctpV qzbXIpFzeYEz0c_mIwGFpe1WpVLK7vDUMGOZCVMnYlflQ). Contact : catherine- bougassas@orange.fr).
- « HumanA, Humanismes Aquitains / Humanisme Aujourd’hui en Nouvelle Aquitaine », programme de l’Université Bordeaux-Montaigne, Centre Montaigne, direction V. Giacomotto-Charra (https://centre- huma-num.fr).
- « Humanistica Helvetica » : projet de recherche porté par l’Université Fribourg, Faculté des lettres et sciences humaines, Département de philologie classique (avril 2020-mars 2024). Ce projet a pour but de faire connaître la littérature latine humaniste du XVIe siècle en Suisse par le biais d’un portail Internet bilingue français-allemand (https://www.unifr.ch/go/humanistica-helvetica). Contact : da- amherdt@unifr.ch
- « ITHAC » : projet de recherche ANR piloté par Malika Bastin-Hammou (Université de Grenoble) et mené en collaboration avec l’UMR HiSoMA (Lyon III) autour d’une équipe de 15 chercheurs membres de Litt&Arts et d’HiSoMA. L’ANR IThAC a pour objectif l’étude de la réception du théâtre antique dans l’Europe du XVIe à travers l’analyse du corpus des paratextes savants imprimés qui lui sont alors consacrés, et la mise à disposition de la communauté scientifique de la traduction de ce corpus en français, grâce à la construction d’une interface numérique évolutive. On fait l’hypothèse que la collecte, la traduction et l’analyse de ce corpus, longtemps négligé parce que difficilement accessible matérielle- ment et parce que très largement rédigé en latin, voire en grec, permettront de saisir à la fois comment le théâtre antique a été reçu et compris par ses « inventeurs » dans l’Europe du XVIe s., mais aussi com- ment les idées et les méthodes qu’ils véhiculent, à l’heure où s’inventaient aussi bien le théâtre moderne que la philologie, ont circulé et se sont développées grâce notamment à leur large diffusion rendue pos- sible par l’imprimé (https://ithac.hypotheses.org/).
- « LiBer » : projet de recherche ANRsur la traduction de trois Décades de Tite-Live par Pierre Bersuire († 1362), l’Université Lumière Lyon 2 et le laboratoire CIHAM (Histoire, Archéologie, Littératures des Mondes Chrétiens et Musulmans Médiévaux), UMR 5648. Promoteurs : Marylène Possamaï et Cédric Contact : cedric.giraud@unige.ch
- « Littératures, philosophie et histoire à l’Âge humaniste. Regards croisés sur les questions culturelles et sociales (XVe-XVIIe siècles) » : programme de recherche dans le cadre de l’Accord de collaboration cul- turelle et scientifique entre l’Université de Florence et l’Université de Picardie Jules Verne ». Direction L. Boulègue et G. Mastrorosa.
- « Natale Conti, Mythologia (1567-1527) » : projet dirigé par Céline Bonhert à l’Université de Reims- Champagne-Ardennes. Les Mythologiae libri decem de Natale Conti, publiés pour la première fois à Venise en 1567, servirent d’ouvrage de référence dans toute l’Europe pendant plus de deux siècles : les étudiants, les artistes, les poètes, les librettistes d’opéra, les médecins, les philosophes et le public lettré de l’Europe des XVIe-XVIIIe siècles y puisèrent une connaissance encyclopédique sur les cultes et les croyances de l’Antiquité. Le site Natale Conti, Mythologia, 1567-1627 (https://eman- org/Mythologia/) présente l’édition numérique de quatre états de ce texte en mutation (Venise 1567, Francfort 1581, Lyon 1612 et Paris 1627) : plus qu’une œuvre, la Mythologie constitue un corpus foisonnant auquel collaborèrent éditeurs, correcteurs, traducteurs et graveurs. Le projet est en cours de réalisation et accueille volontiers de nouvelles participations. Contact : celine.bohnert@univ-reims.fr
- « Relics » : le réseau international de recherche RELICS rassemble des chercheurs intéressés par le rôle dynamique du latin en tant que langue littéraire et culturelle européenne. RELICS est l’initiateur et le coordinateur d’un réseau de recherche scientifique plus vaste appelé « Littératures sans frontières. Une étude historique – comparative de la transnationalité littéraire prémoderne ». Ce projet collaboratif se concentre sur les littératures prémodernes après l’Antiquité à caractère transnational et dans les limites géographiques englobant l’Afrique du Nord, le Moyen-Orient et l’Europe : latin, grec byzantin, Arabe et hébreu – Yiddish –
- « Ricercar » : programme de recherche en musicologie créé par le Centre d’Études Supérieures de la Renaissance avec le concours de l’Université de Tours, du CNRS, et du Ministère de la Culture). Direc- tion Vendrix.
Rotshschild Jean-Pierre et Heid Caroline, La Bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux du XIIe au XVIIIe siècle, T. II Manuscrits conservés, 3e partie : Cotes O, P, Q, Paris, CNRS Editions, coll. « Documents, Etudes et répertoires de l’IRHT », 2021
Rotshschild Jean-Pierre et Heid Caroline, La Bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux du XIIe au XVIIIe siècle, T. II Manuscrits conservés, 3e partie : Cotes O, P, Q, Paris, CNRS Editions, coll. « Documents, Etudes et répertoires de l’IRHT », 2021. (145 manuscrits de sermons et instruments pour la prédication)
La bibliothèque de l’abbaye de Clairvaux fut un centre de première importance de la vie spirituelle et intellectuelle en France et en Europe au Moyen Âge. A. Vernet en a édité les anciens catalogues en 1979, et ses collaborateurs de l’IRHT, J.-P. Bouhot et le regretté J.-Fr. Genest, ont publié en 1997 les notices descriptives des manuscrits bibliques, patristiques et théologiques, soit un peu plus de la moitié des mille et quelques manuscrits subsistants du catalogue de 1472. Le travail a été repris dans la section latine de l’IRHT il y a quelques années. Les 500 manuscrits restant à décrire seront répartis dans quatre volumes qui couvriront, selon l’ordre des cotes du catalogue de 1472, des manuscrits de sermons (volume en préparation), d’autres recueils de sermons, des instruments pour la pastorale et des textes de théologie scolaire, de dévotion, d’histoire sainte, d’histoire profane et d’hagiographie (ce volume II, 3), le droit, les sciences et les lettres (en préparation), la liturgie (en préparation). Ce volume-ci décrit donc 142 manuscrits de contenu très varié ; les recueils de pièces multiples sont nombreux : florilèges, sermonnaires, collections hagiographiques. Cette entreprise a été l’occasion d’un nombre élevé de découvertes de copies inconnues de divers textes. Mais le projet vise aussi à comprendre le fonds en tant qu’ensemble, en distinguant les manuscrits produits dans le scriptorium de Clairvaux, ceux acquis à Paris particulièrement au moment où l’abbaye envoie ses moines les plus prometteurs au collège Saint-Bernard, ou encore ceux faisant l’objet de dons ; il analyse aussi l’organisation de la bibliothèque de Clairvaux du XIIe au XVIIIe siècle, à travers les strates de classification, et en accordant une attention minutieuse à la prosopographie des moines et donateurs.
Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°19 (2021) de la SEMEN-L (p. 75-76).
Colloque international Pédagogies de la Renaissance et supports de l’écrit à la Bibliothèque Humaniste de Sélestat
Colloques 2020-2021
Voici la liste des colloques et journées d’étude recensés par la SEMEN-L pour l’année 2020-2021 : vous pouvez la télécharger ici.
Colloques 2020-2021*
Rubrique colloque 2020-2021
– 5-6 octobre 2020, Journée d’études : « Remembratio codicum. Manuscrits fragmentaires de chant reconstruits », org. J. Delmulle (IRHT) et H. Morvan (Institut Ausonius), Université Bordeaux Montaigne
– 15 oct. 2020, Amiens (Logis du Roy), UPJV-UR 4284 TrAme, Journée « Écrire en poète au temps des conflits confessionnels », org. A. Duru (audrey.duru@u-picardie.fr).
– 23 octobre 2020. Atelier Pédagogies de la Renaissance et supports de l’écrit, org. Lucie Claire, Martine Furno, Anne-Hélène Klinger-Dollé et Laurent Naas, Villeurbanne, enssib,
– 16-18 novembre 2020, Université de Louvain-la-Neuve, colloque « Penser autrement les lettres et les arts : la voie/voix de la scolastique (1500-1700) », org. R. Dekoninck – A. Guiderdoni – A. Smeesters, contact aline.smeesters@uclouvain.be
– 21 novembre 2020, Atelier XVIe siècle : « Le grec à la Renaissance », Amphithéâtre Chasles, 10h-17h.
– 12 février 2021, Colloque inaugural de l’Association canadienne d’études néo-latines/Canadian Association of Neo-Latin studies, org. P. Cohen (University of Toronto), M. McShane (University of Toronto), J. Nassichuk (University of Western Ontario), L. Roman (Memorial University), F. Rouget (Queen’s University).
– 23-24 février 2021, Colloque Histoire et transmission de la Passio imaginis Salvatoris, org. Nick Thate, Aubervilliers, Campus Condorcet.
– 1er et 2 avril 2021, « La vie du livre » et « Les bibliothèques et collections » en Aquitaine à l’époque de Montaigne. (à préciser)
– 7-10 avril 2021, Dublin (en visio-conférences), Renaissance Society of America 67th Annual Meeting.
– 7-10 avril 2021, Dublin (en visio-conférence), Session double « The women’s issue among Italian and French humanists : I. Debates / II. Representations », org. L. Boulègue (UR UPJV 4284 TrAme) – S. Gambino Longo (U. Lyon), RSA 67th Annual Meeting.
– 7-10 avril 2021, Dublin (en visio-conférence), Table ronde « Les Opera omnia de Jean Second (1511-1536) », org. M. Laureys (U. Bonn) – V. Leroux (EPHE, PSL), RSA 67th Annual Meeting.
– 20 mai 2021, Journée thématique : « Les « révélations » comme support de transmission d’un savoir cosmologique », org. I. Draelants, J.-Ch. Coulon et E. Abate, Aubervilliers, Campus Condorcet.
– juin 2021 (dates à préciser), Dijon, Université de Bourgogne, Congrès de la Semen-L « Latin et grec au Moyen Âge et à la Renaissance », org. S. Laigneau-Fontaine (sylvie.laigneau-fontaine@sfr.fr) et E. Oudot
– 4 juin 2021, Université de Picardie Jules Verne – Amiens, Journée scientifique du Congrès de l’Aplaès, » Imitation des modèles et intertextualité(s) de la Grèce ancienne à la Renaissance humaniste », org. L. Boulègue, M. Brouillet, N. Catellani, L. Claire, contact laurence.boulegue@u-picardie.fr
– 15-16 juin 2021, « Remembratio codicum. Manuscrits fragmentaires de chant reconstruits », org. J.-Fr. Goudesenne, G. Kagan(IRHT) et M.-É. Gautier (Bibliothèque municipale, Angers), Archives départementales, Angers et Tours.
– 21-23 octobre 2021, Colloque Pédagogies de la Renaissance et supports de l’écrit, org. Lucie Claire, Martine Furno, Anne-Hélène Klinger-Dollé et Laurent Naas, Sélestat, Bibliothèque humaniste.
Projets
– ARC Schol’Art : Les théories modernes des lettres et des arts à la lumière de la seconde scolastique (France-Italie, 1500-1700). Université de Louvain-la-Neuve – Gemca. Promoteurs : A. Guiderdoni, R. Dekoninck, A. Smeesters.
Projet Bordeaux
– Burgundia humanistica : Les écrivains bourguignons qui écrivent en latin et/ou en grec aux XVIe et XVIIe siècles. Promotrice : S. Laigneau-Fontaine (Université de Dijon). Ce projet a reçu le soutien du Conseil Régional de Bourgogne, qui lui a attribué un financement et un contrat doctoral : Elena Ghiringhelli travaillera sous la direction de S. Laigneau-Fontaine et celle de Valérie Wampfler sur la Continuation des Fastes d’Ovide par le Dijonnais Claude-Barthélemy Morisot (1649). Plusieurs travaux actuellement en cours appartiennent par ailleurs à ce projet, par exemple l’édition, traduction, commentaire de la Gigantomachie de l’Autunois Jacques Guijon (1658). Le corpus est immense et varié (textes de droit, de médecine, tumuli, éloges, correspondances, poésies diverses…) et toutes les bonnes volontés désirant participer au projet sont les bienvenues !
– projet CREAMYTHALEX : La réception de l’Antiquité grecque en Europe. Promotrice Catherine Gaullier-Bougassas Le projet a d’abord porté sur la figure d’Alexandre le Grand et les travaux permis par un financement ANR ont été publiés dans la collection « Alexander redivivus » créée durant ce projet chez Brepols (http://www.brepols.net/Pages/BrowseBySeries.aspx?TreeSeries=AR). Il s’est ensuite élargi à la réception de l’Antiquité grecque d’avant Alexandre. Une nouvelle collection a ainsi été créée chez Brepols: « Recherches sur les Réceptions de l’Antiquité », direction Catherine Gaullier-Bougassas
http://www.brepols.net/Pages/BrowseBySeries.aspx?TreeSeries=RRA&fbclid=IwAR0MNaU1ZLctpVqzbXIpFzeYEz0c_mIwGFpe1WpVLK7vDUMGOZCVMnYlflQ
Deux journées d’étude sont prévues en 2021, l’une sur les représentations de l’espace grec antique, l’autre sur les écritures mythologiques. Les dates ne sont pas encore fixées en raison de la crise. Contact pour les collègues intéressés par le projet : catherine-bougassas@orange.fr)..fr