Dante, Correspondance, t. I : L’amour et l’exil ; introduction générale, Lettres I-IV / Epistolae I-IV ; introduction, traduction et commentaire de Benoît Grevin, Paris, Les Belles Lettres, 2022 (coll. « Classiques de l’humanisme », n° 58).

Dante, Correspondance, t. I : L’amour et l’exil ; introduction générale, Lettres I-IV / Epistolae I-IV ; introduction, traduction et commentaire de Benoît Grevin, Paris, Les Belles Lettres, 2022 (coll. « Classiques de l’humanisme », n° 58).

La correspondance de Dante couvre ses années d’exil (1302-1321), qui le virent batailler contre les Florentins, soutenir l’aventure d’Henri VII, exiger le retour des papes à Rome et écrire la Comédie. Les treize lettres subsistantes ont été écrites dans un latin raffiné, rythmé et métaphorique. Dans les lettres I-IV (1304-1309), Dante, homme de parti, proche des débuts de son exil, négocie le retour de Guelfes Blancs à Florence et chante la mort d’un protecteur tout en dissertant avec Cino da Pistoia et Moroello Malaspina sur la nature de l’amour. Les lettres V-VII (1311), sont portées par un souffle messianique. La venue d’Henri VII de Luxembourg est accueillie par le penseur de la Monarchie comme l’aube d’une ère nouvelle. Les Italiens sont invités à se tourner vers l’astre impérial, Florence maudite et vouée à la défaite, le souverain critiqué pour ses lenteurs. Dans les lettres VIII-X, un Dante au féminin se fait le secrétaire d’une comtesse s’adressant à la reine des Romains. Les lettres XII-XIII reflètent les pensées de la vieillesse. Dante y refuse un retour d’exil au prix d’une compromission, y stigmatise les errances de l’Église, y offre la Comédie achevée au seigneur de Vérone. Cette nouvelle édition en trois tomes propose à la fois une version nouvelle du texte des Lettres, une traduction et un commentaire qui guide le lecteur dans la pensée et le style du poète. Elles révèlent un Dante méconnu, brillant de son génie, mais enraciné dans la culture de son temps. — Ce premier volume de la correspondance de Dante Alighieri comprend trois parties. Une introduction générale fait le point sur les connaissances concernant les Lettres, suggérant leur place dans la vie de Dante et dans l’histoire de la rhétorique épistolaire. Elle détaille leur tradition manuscrite, leurs procédés de rédaction, leur rapport avec l’art rhétorique du XIIIe siècle, comme avec les tendances de l’humanisme naissant. L’édition-traduction (présentant une nouvelle version des textes) et le commentaire analysent ensuite les quatre lettres correspondant aux premières années d’exil de Dante (1302-1309). Les lettres I-II concernent le politicien, membre de la faction des Blancs florentins. Les lettres III et IV nous transportent dans l’atmosphère onirique d’une méditation sur l’amour.

Source : Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°20 (décembre 2022) de la SEMEN-L (p. 42-43).

Le nu dans la littérature de la Renaissance. Sous la direction d’Emilie Séris, Presses Universitaires François Rabelais, collection Renaissance, Tours, 2022. ISBN 978-2-86906-803-2, 21 x 28 cm, 288 p.

Le nu dans la littérature de la Renaissance. Sous la direction d’Emilie Séris, Presses Universitaires François Rabelais, collection Renaissance, Tours, 2022. ISBN 978-2-86906-803-2, 21 x 28 cm, 288 p.

Contributions de Thomas Baier, Roland Béhar, Gabriele Bucchi, Nicolas Casellato, Guillaume Cassegrain, Donatella Coppini, Évrard Delbey, Susanna Gambino Longo, Giuseppe Germano, Julien Goeury, Antonietta Iacono, Nadeije Laneyrie-Dagen, Virginie Leroux, Julien Maudoux, Francesca Mestre, Valérie Naas, John Nassichuk, Anne-Pascale Pouey-Mounou, Emmanuelle Rosso & Gilles Sauron.

À la Renaissance, le nu a connu dans les arts un développement sans précédent. Observe-t-on un phénomène analogue dans la littérature ? Ce livre, en identifiant une variété de nus dans les textes de la Renaissance et en analysant leurs modèles, leurs significations et leurs procédés d’écriture, propose une première synthèse sur le sujet. Après avoir rappelé les caractéristiques essentielles du nu depuis l’Antiquité, cet ouvrage entend revaloriser la fonction comique de la nudité, aspect minoré par la critique longtemps centrée sur le nu idéal et le mouvement néo-platonicien. En effet, dans la suite de la tradition médiévale, la dérision du corps s’exprime dans la nouvelle en langue italienne, dans l’épigramme latine, mais aussi parfois dans l’élégie ou dans les récits des grandes découvertes, mettant à nu la condition humaine. Toutefois, si le nu alimente à la Renaissance la satire des mœurs, il n’en continue pas moins de célébrer l’amour et la fécondité : littérature et arts perpétuent la fonction érotique du nu archaïque en l’adaptant aux cadres du mariage chrétien. Enfin, les nouvelles théorisations humanistes du corps, qui ont bouleversé sa figuration en art, ont aussi modifié les codes de sa description littéraire : les recherches sur la symétrie du corps humain, sur l’anatomie ou sur le mouvement n’ont pas manqué de travailler le nu dans la littérature de la Renaissance.

Source : Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°20 (décembre 2022) de la SEMEN-L (p. 45).

Le nu dans la littérature de la Renaissance

La SEMEN-L a le plaisir de vous faire connaître la parution de : Le nu dans la littérature de la Renaissance, un ouvrage collectif sous la direction d’Émilie Séris, paru aux Presses Universitaires François-Rabelais, dans la collection « Renaissance ». Il est issu d’un colloque tenu à la Sorbonne du 22 au 24 novembre 2018.

Lien vers le site des PUFR.

Le nu a-t-il eu à la Renaissance le même succès dans la littérature que dans les arts ? Ce livre propose une première synthèse sur le sujet en identifiant une variété de nus dans les textes de la Renaissance et en analysant leurs modèles, leurs significations et leurs procédés d’écriture.

Retravaillant les exemples antiques et médiévaux, la littérature de la Renaissance a développé les fonctions comique et érotique du nu. En effet, dans la suite de la tradition médiévale, la dérision du corps s’exprime dans la nouvelle en langue italienne, dans l’épigramme latine, mais aussi parfois dans l’élégie ou dans les récits des grandes découvertes, mettant à nu la condition humaine. Toutefois, si le nu alimente à la Renaissance la satire des mœurs, il n’en continue pas moins de célébrer l’amour et la fécondité : littérature et arts perpétuent la fonction érotique du nu archaïque en l’adaptant aux cadres du mariage chrétien. Enfin, il apparaît que les nouvelles théorisations humanistes du corps, qui ont bouleversé sa figuration en art, ont aussi modifié les codes de sa description littéraire : les recherches sur la symétrie du corps humain, sur l’anatomie ou sur le mouvement n’ont pas manqué non plus d’influencer le nu dans la littérature de la Renaissance.

Encart de présentation et bon de commande

Sommaire

INTRODUCTION

PARTIE I – MODELES FIGURÉS, MODELES LITTÉRAIRES

Chapitre I – Histoires de nus et de nudité. Sur quelques anecdotes antiques. Valérie Naas

Chapitre II – Les nus sur la mégalographie dionysiaque de la villa des Mystères (Pompéi). Gilles Sauron

Chapitre III – Venus pudica. Portrait féminin et nudité dans la Rome impériale. Emmanuelle Rosso

Chapitre IV – Tableaux et statues de nus dans quelques textes grecs de l’époque impériale. Francesca Mestre.

Chapitre V – Le corps usé des vieilles femmes dans la littérature médiévale. Julien Maudoux.

PARTIE II – MISERE ET DIGNITÉ DE L’HOMME

Chapitre I – Les nudités dans le Décaméron de Boccace. Évrard Delbey

Chapitre II – Il nudo epigrammatico nella poesia umanistica. Donatella Coppini

Chapitre III – La comédie de la nudité dans les Amours de Conrad Celtis. Nicolas Casellato

Chapitre IV – La nudité animale. Identités renaissantes. Guillaume Cassegrain

Chapitre V – Primitivisme et nudité. L’homme demi-nu aux origines de la civilisation. Susanna Gambino Longo

PARTIE III – ÉROS, PAN OU HYMÉNÉE?

Chapitre I – Il nudo tra ethos familiare ad eros coniugale nella poesia di Giovanni Pontano. Giuseppe Germano

Chapitre II – Nuda agitans choros… Valeurs du nu féminin chez Garcilaso de la Vega. Roland Béhar

Chapitre III – La nudité de Suzanne dans une tragicomédie de Charles Godran. John Nassichuk

Chapitre IV – Symbolique érotique et gestuelle. Le topos de la femme au bras levé. Nadeije Laneyrie-Dagen

Chapitre V – Sommeil et nudité. Virginie Leroux

PARTIE IV – LA FABRIQUE DU NU

Chapitre I – Les théories artistiques de Leon Battista Alberti dans l’oeuvre de Cristoforo Landino. Thomas Baier

Chapitre II – Il corpo di Adone nel De hortis Hesperidum di Giovanni Pontano. Antonietta Iacono

Chapitre III – Nude e crude. Le nu féminin dans le Roland furieux. Gabriele Bucchi

Chapitre IV – Portraits de nus dans la poésie de la Pléiade (Ronsard et Baïf). Anne-Pascale Pouey-Mounou

Chapitre V – « Couvrez ce sein… » . Clément Marot et les blasons impudiques. Julien Goeury

Giovanni Pontano, L’Éridan/Eridanus, introduction, texte latin, traduction et commentaire par Hélène Casanova-Robin, Paris, Les Belles Lettres, « Les classiques de l’humanisme », 2018 (Laurence Boulègue)

Giovanni Pontano, LÉridan/Eridanus, introduction, texte latin, traduction et commentaire par Hélène Casanova-Robin, Paris, Les Belles Lettres, « Les classiques de l’humanisme », 2018, 463 p., 45 €.

Après les Églogues, publiées en 2011, la collection des Classiques de l’humanisme offre pour la première fois la traduction en français et l’étude par Hélène Casanova-Robin de L’Éridan de Giovanni Pontano, recueil en deux livres d’élégies latines édité pour la première fois à Naples en 1505 par les soins de Pietro Summonte, disciple de l’humaniste napolitain. Les nombreuses rééditions qui suivirent témoignent de l’estime qui fut portée à cette œuvre tout au long du XVIe siècle et révèlent à quel point la lecture des élégies de Pontano est indispensable pour tout spécialiste de la poésie humaniste. Le premier livre est composé de trente-quatre poèmes en grande partie consacrés à Stella, mais on trouve aussi quelques poèmes à visée étiologique. Le personnage de Stella reste au cœur du second livre, le poète offrant pour écrin à la célébration du sentiment amoureux, en pièces liminaire et finale, l’évocation de sa femme Ariadna, désormais disparue. Si l’unité du recueil n’est pas parfaitement homogène, puisque dans le second livre aussi sont insérées quelques épigrammes relevant du genre gnomique, néanmoins dominent les sujets et les figures amoureuses chers à Pontano, la variété du recueil étant d’ailleurs représentative des œuvres élégiaques humanistes.

Dans une étude introductive substantielle, Hélène Casanova-Robin examine avec soin la composition complexe de l’Eridanus qui a donné lieu à diverses interprétations et hypothèses – autobiographie ou pure fiction ? c’est ce que suggère la deuxième élégie. Si la première lecture est sur certains points pertinente, néanmoins c’est résolument dans la seconde optique que peut être révélée toute la richesse de la poésie pontanienne, ce à quoi aboutit de façon convaincante l’examen minutieux du texte : « Stella est ficta : la figure concentre les questionnements de l’humaniste » (p. CVII). Le titre même, hommage au fleuve qui accueillit Phaéton brûlé dans ses eaux, inscrit l’œuvre dans un « territoire tout entier contaminé par les feux de la passion » (p. XIX), territoire qui est aussi générique – l’élégie – et textuel – dans la tradition propertienne de la puella unique renouvelée par Pétrarque et par Landino dans Xandra. Ainsi, l’étude du texte est-elle organisée autour de cinq motifs ou fils directeurs : le mythe des origines, l’amour sensuel, les figures amoureuses, la lumière dont Stella est l’étoile du recueil et, enfin, la consolation partout présente. Cette belle étude est considérablement complétée par l’appareil de notes sur le texte.

Fondé sur l’édition de Benedetto Soldati en 1902, le texte de l’Eridanus qui est ici proposé en offre une révision en prenant appui principalement sur l’édition princeps de 1505 à laquelle s’ajoute la consultation de l’édition vénitienne de 1518 et des éditions récentes de Joannes Oeschger (1948) et de Liliana Monti Sabia (choix de poèmes dans l’anthologie Poeti latini del Quattrocento en 1964). Ainsi le lecteur dispose-t-il d’un texte fiable dont les choix de ponctuation et les orthographica sont harmonisés de façon claire et cohérente. La traduction, en regard, suit la mise en vers du modèle latin, rendant hommage au talent de Pontano. Ce deuxième volume des poèmes de Pontano comble avec bonheur un manque important de notre bibliothèque humaniste.

Laurence Boulègue (UPJV)

Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°17 (2019) de la SEMEN-L (p. 44).

Cours et séminaires 2009-2010

COURS ET SÉMINAIRES 2009-2010
Cours et séminaires en France
Université de Provence-Aix-Marseille I
Cours
— Jean-Louis Charlet, CM L3, semestre 1, vendredi 15h-18h (4 séances : 9, 23 et 30 octobre 2009, 20 novembre 2009), Jas, s. 9 : « Didactique et pédagogie du latin à l’époque humaniste, les
Colloquia ».
— Jean-Louis Charlet, CM L3, M1-M2, semestre 2, vendredi 14h-17h (4 séances), Jas, s. 7, « Initiation à la recherche » : « L’épopée latine tardive : Claudien , De bello getico ».
Séminaires
— Jean-Louis Charlet, M1-M2, semestres 1 et 2, « Métrique et stylistique des textes antiques et médiévaux » (12 h).
— Jean-Louis Charlet, M1-M2, semestres 1 et 2, vendredi 9h-12h ou lundi 9h-12h, en alternance dans le séminaire « Technique d’édition des textes anciens » : « Codicologie latine I-II-III » (6h
pour chaque niveau, Jas,) ; Pascal Boulhol : « Paléographie latine II » (6h, 2 séances, Jas, mercredi, 14h-17h, s. 9) ; Jean-Louis Charlet : « Critique textuelle » III (6h, 2 séances, Jas).
Université Michel de Montaigne-Bordeaux 3
Cours
— Patrick Henriet, L3, semestre 1, jeudi 10h30-12h30, cours de latin médiéval.
Séminaire
— Danièle James-Raoul et Jean-René Valette, M2, semestre 1, mercredi 13h30-15h30, salle D 107 : « De la beauté aux XIIe-XIIIe siècles : questions d’esthétique médiévale ».
Université de Bourgogne-Dijon
Cours
— Sylvie Laigneau-Fontaine, L3, semestre 1, jeudi 10h-11 h, salle R 33 : « Images de César de l’Antiquité à la Renaissance »
— Sylvie Laigneau-Fontaine, L3, semestre 1, mardi 15h-16 h, salle R 33 : « La consolation de l’Antiquité à la Renaissance »
Séminaires
— Sylvie Laigneau-Fontaine, M1-M2, semestre 1, jeudi 8h-9h, salle 252 : « Autour des Adages d’Erasme ».
— Sylvie Laigneau-Fontaine, M1-M2, semestre 1, mercredi 16h-17h, salle 252 : « L’épigramme latine et néo-latine ».
Université Stendhal-Grenoble 3
Cours
À l’antenne de Valence (cours pour Lettres Modernes) :
— Martine Furno, option L2, semestre 1, lundi 17h-19h, salle 208 : « Histoire de l’enseignement et des premiers niveaux d’apprentissages, de l’antiquité aux collèges jésuites ».
— Martine Furno, option L2, semestre 2, lundi 17h-19h, salle à définir : « Le mythe de Didon, de Virgile à Berlioz (Antiquité, Moyen Âge, Renaissance et époque classique) ».
Séminaire
— Sophie Aubert, M1-M2, semestre 1, mardi 17h30-18h30, salle B 311, « Croisement et permanence de l’antique » : « Évolution du stoïcisme de l’Antiquité à la Renaissance ».
Université Charles de Gaulle-Lille 3
Cours
— Laurence Boulègue, L2 et L3, UE libre de littérature néo-latine, semestre 1, vendredi 13h30- 15h00 : « Le débat sur les genres de vie à la Renaissance : vies poétique, philosophique, politique ».
Séminaires
— Marc Baratin, M1-M2, semestre 1, jeudi 10h30-11h30 : « Textes techniques latins : les textes grammaticaux. Présentation des textes sur le langage à Rome, et parmi eux des textes
grammaticaux, puis traduction de passages des Institutions grammaticales de Priscien ».
— Laurence Boulègue en collaboration avec Jacqueline Fabre-Serris, M1-M2, semestre 1, jeudi 11h30-12h30 : « Couples mythiques de l’Antiquité à l’époque moderne : réflexion sur la constitution et la permanence d’un lien ».
Université de Limoges
Cours
— Laurence Pradelle, M1, semestre 1 : « Initiation à l’art et à la littérature de la Renaissance italienne dans leur relation avec la culture gréco-latine antique ».
Université Paul Verlaine-Metz
Séminaire
— Jean-Frédéric Chevalier, M2, semestre 1, 12h : « Littérature néo-latine et spiritualité ». Université de Paris-Sorbonne (Paris I)
Séminaire
— Monique Goullet, Stéphane Gioanni, Benoît Grévin, semestres 1 et 2, vendredi 13h-15h, Sorbonne, salle Perroy : « La rhétorique politique du dictamen au bas Moyen Âge : édition, traduction et commentaire historique d’une anthologie de lettres de propagande et manifestes politiques du XIIIe-XIVe siècle (Empire-Sicile, papauté, France, Angleterre, communes italiennes)
Le temps des imitations ».
Université de Paris-Sorbonne (Paris IV)
Cours
— Anne Dupuis-Raffarin, TD L3, semestre 1, mardi 9h-10h, s. 659, « Initiation à la culture et à la littérature latines de la Renaissance (XVe-XVIe siècles) » : « La pédagogie humaniste (traités humanistes sur l’éducation) ».
— Émilie Séris, CM L2, semestre 1, « Initiation à la littérature de la Renaissance sur textes traduits » : « Représentations du poète à la Renaissance ».
— Hélène Casanova-Robin, CM L3, semestres 1 et 2, « Initiation à la culture et à la littérature latines de la Renaissance (XVe-XVIe siècles), jeudi, 10h-11h, s. 658 : semestre 1, « Usages de la mythologie à la Renaissance » ; semestre 2, « L’expression du sentiment amoureux dans la poésie latine des XVe et XVIe siècles ».
— X, CM L2, semestre 2, « Initiation à la littérature de la Renaissance sur textes traduits » : « La redécouverte de Rome par les humanistes des XVe et XVIe siècles ».
— Mélanie Bost-Fievet, TD L2, semestre 2, mardi 14h-15h, « Initiation à la littérature de la Renaissance sur textes traduits » : « Les voyages des humanistes ».
— Émilie Séris, TD L3, semestre 2, vendredi 13h-14h, A. Le Verrier, « Initiation à la culture et à la civilisation latines de la Renaissance (XVe-XVIe siècles) » : « L’Erotopaegnion de Jérôme Angeriano (1512) ».
Séminaires
— Vincent Zarini, M1-M2, semestres 1 et 2, jeudi 16h30-18h30, Maison de la Recherche : « Culture antique et culture chrétienne chez Ennode de Pavie ».
— Hélène Casanova-Robin, M1-M2, semestres 1 et 2, jeudi 14h-16h, Maison de la Recherche : «La tradition de la poésie bucolique latine du Moyen Âge (Dante) à la Renaissance »
Université de Toulouse II-Le Mirail
Séminaires
— Anne-Hélène Klinger, M1, semestre 1, jeudi 8h30-10h30 : « Littérature latine de l’Europe humaniste (XIVe-XVIe siècles) : mythes, représentations figurées, images ». École Nationale des Chartes
Cours et séminaires
— Marc Smith, semestre 2, mardi 14h30-15h30, Grande Salle, « Paléographie latine » : « Initiation à la paléographie latine. Documents et livres latins du Moyen Âge. Approche chronologique, IXe-XVe siècle ».
— Marc Smith, semestre 1, mardi 14h00-15h00, Grande Salle, « Paléographie latine » : « Paléographie latine approfondie (1) : livres et actes, IVe-XIIe siècle ».
— Marc Smith, semestre 1, mardi 12h-13h, Grande Salle, « Paléographie latine » : « Paléographie latine approfondie : documents du XIIIe siècle. Approche chronologique par types de documents ».
— Marc Smith, semestre 2, mardi 11h15-12h15, Grande Salle, « Paléographie latine » :« Paléographie latine approfondie : écritures scolastiques (2) – Lecture de textes spécialisés (philosophie, théologie, etc.), XIIe-XVe siècle ».
— Marc Smith, semestre 2, mardi 13h15-14h15, Grande Salle, « Paléographie latine » : « Paléographie latine approfondie : documents des XIVe-XVIe s. Approche chronologique et par types de documents, centrée sur les écritures cursives ».
— Bruno Bon, semestre 1, mercredi 9h30-11h30, Centre Albert Châtelet, Giry, « Latin médiéval » : « Le latin des documents de la pratique : initiation ».
— Jérôme Belmon, Bruno Bon, Olivier Guyotjeannin, semestre 1, mercredi 11h30-12h30, Centre Albert Châtelet, Giry, « Latin médiéval » : « Le latin des documents de la pratique :
approfondissement ».
— Pascale Bourgain, semestre 2, mardi 9h-10h, Grande Salle, « Latin médiéval » : « Le latin des textes littéraires ».
— Pascale Bourgain, semestre 1, mercredi 10h30-11h30, Grande Salle, « Latin médiéval » : « Le latin des textes littéraires : approche culturelle ».
— Pascale Bourgain, semestre 1, mercredi 9h-10h, Centre Albert Châtelet, Delisle : « Histoire des textes littéraires du Moyen Âge. Histoire des sources littéraires médiévales ».
— Pascale Bourgain, semestre 2, mercredi 10h-11h, Centre Albert Châtelet, Delisle : « L’édition des textes, du Moyen Âge à l’époque modernes. L’édition des textes littéraires latins (et latin médiéval)
».
École Normale Supérieure de Paris
Cours
— Cécile Lanéry et Pierre Petitmengin, semestres 1 et 2, mardi 17h30-19h30, salle de séminaire du Centre d’études anciennes : « Lecture et critique des manuscrits latins ».
— Jean-Christophe Jolivet et Étienne Wolff, horaires à préciser : « Sidoine Apollinaire, Poèmes : Panégyriques (CUF), tome I, Carmina I-VIII ».
— Isabelle Pantin, semestre 1, 2h par quinzaine : cours de néo-latin.
— Michel Magnien, semestre 2, 2h par quinzaine : cours de néo-latin.
Séminaires
— Sylvia Estienne (en S1) et Mathilde Mahé-Simon (en S2), semestres 1 et 2, samedi 10h-12h30, une fois par mois, salle de séminaire du CEA : « Virgile commenté par Servius : aspects littéraires et religieux »
École Pratique des Hautes Études, Sciences historiques, philologiques et religieuses (section IV)
Séminaires
En Sorbonne, l’entrée à l’EPHE se fait par le 17, rue de la Sorbonne, escalier E, 1er étage.
— Nicole Bériou, semestres 1 et 2, mardi, 9h-11h, Sorbonne, salle Corbin : « Exégèse et prédication dans le Moyen Âge chrétien occidental. Parole, Écriture et réforme de l’Église (XIIe-XIIIe siècles)».
— Marc Deramaix, semestres 1 et 2, les 1er, 3e et 5e vendredis du mois (6 et 20 novembre 2009, 4 et 18 décembre 2009, 15 et 29 janvier 2010, 5 février 2010, 19 mars 2010, 28 mai 2010, 4 et 18 juin 2010), 12h à 14h, Sorbonne, salle Delamarre : « Langue et littérature néo-latines. Théories poétiques de la Renaissance italienne ».
1. « Édition, traduction et commentaire de l’Actius (Naples, 1507) de Giovanni Pontano (1429-1503) » (commentaire de la partie I De numeris poeticis, suite, consacrée à l’examen des moyens
propres à la musique verbale chez Virgile).
2. « Autour de l’Actius : sources, contexte, réception » (sur la tradition gréco-latine de la compositio uerborum, de Cicéron et Denys d’Halicarnasse à Georges de Trébizonde et Pontano).
— Perrine Galand, semestres 1 et 2, mercredi 12h-14h et 16h-18h (18 novembre 2009, 2 et 16 décembre, 6 et 20 janvier 2010, 3 février, 10 et 24 mars, 7 avril, 12 et 26 mai, 9 juin), Sorbonne,
salle Delamarre : « Langue et littérature néo-latines ».
1. « Théories et pratiques poétiques de l’humanisme (XVIe siècle) », en collaboration avec John Nassichuk (professeur à l’Université de Western Ontario, Canada) : « La poésie (latine et française) des Parlementaires, dans la seconde moitié du XVIe siècle en France (le statut de leur activité poétique; une tradition érasmienne tardive ; la question du bilinguisme) ». John Nassichuk : « Les Poemata (Caen, 1600) de l’humaniste Jean Rouxel de Breteuil, professeur de droit et de rhétorique à l’Université de Caen sous Charles IX et Henri III ».
2. Édition, traduction et commentaire de textes humanistes : Édition du Sylvarum liber primus de Guillaume de Calvimont (Paris, Denis du Pré, 1571), avocat au Parlement de Paris et cousin
d’Étienne de La Boétie (suite) ».
— Jean-Marc Mandosio, semestres 1 et 2 : « Latin technique du XIIe au XVIIIe siècle ».
1. Jeudi 18h-20h, salle d’Histoire : « Jacques Lefèvre d’Étaples, De magia naturali (1493-1495) : textes alchimiques médiévaux ».
2. En collaboration avec Marie-Dominique Couzinet (Université de Paris I), les 2e et 4e vendredis du mois, 15h-17h, salle d’Histoire : « Le commentaire de Jean Péna (1555) sur le De natura deorum de Cicéron ».
— Jean-Marc Mandosio, semestres 1 et 2 : « Latin médiéval ».
— Joëlle Ducos, semestres 1 et 2, jeudi 14h-16h, salle Delamarre : « Culture savante et vulgarisation dans la France médiévale ».
1. « Les traductions vernaculaires de l’Epitoma rei militaris de Végèce (XIIIe-XIVe siècles) ».
2. « Modèles textuels et vulgarisation : le Rosarius ».
— Irène Rosier-Catach, semestres 1 et 2, mardi 9h-11h, salle Mauss: « Arts du langage et théologie au Moyen Âge ».
1. « Logique et sémantique à l’époque d’Abélard ».
2. « Langage et politique chez Dante », avec la collaboration de Martin Rueff et de Nicole Bériou.
— Anne-Marie Turcan-Verkerk, semestres 1 et 2, mardi 14h30-16h30, IRHT, salle Jeanne Vielliard : « Langue et littérature latines du Moyen Âge »
1. « L’enseignement de Bernard de Bologne sur le vers et la prose (1140-1150) ».
2. « Catalogues de bibliothèques et listes de livres du Moyen Âge ». Institut de recherche et d’étude des textes
Séminaires
— Dominique Poirel, du 7 au 11 décembre 2009, Centre Félix-Grat : « Initiation à l’édition critique : édition collective d’un texte latin du Moyen Âge, le Commentaire d’Adam de Buckfield
(m. av. 1294) sur le De differentia animae et spiritus de Costa ben Luca (m. 912) ».
— Claire Maître, semestres 1 et 2, vendredi 16 octobre 2009 puis un jeudi par mois, 16h-18h (19 novembre, 10 décembre 2009, 7 janvier, 11 mars, 1 avril, 29 avril et 27 mai 2010), Bibliothèque
Mazarine : « Les lectures et les répons de l’office nocturne à l’époque médiévale ».
— Jean-François Maillard, Jean Céard et Catherine Magnien, semestres 1 et 2, un vendredi par mois 16h-19h (6 séances), Centre Félix-Grat : « Humanisme : commenter à la Renaissance ». Cours et séminaires à l’étranger Allemagne, Université de Trèves
Séminaire
— Luc Deitz, Fachbereich Alterumswissenschaften – Département de lettres classiques, semestre d’été 2010 : « Lateinische Liebes- (und erotische) Dichtung der Renaissance ».
Belgique, Université catholique de Louvain-la-Neuve
Cours
— Paul Deproost, Second cycle, semestres 1 et 2, vendredi 16h-17h : « Auteurs latins de l’Antiquité tardive ».
— Baudoin Van de Abeele, Second cycle, semestres 1 et 2, lundi 9h30-10h30 : « Paléographie latine ».
Belgique, Université de Gand
Cours
— Marc van Uytfanghe, Master de latin, cours de Littérature latine postclassique. Royaume-Uni, Université de Cambridge, Clare College
Cours
— Philip Ford and others, Undergraduate course, jeudi 17h30, Godwin Room, D staircase, Old Court : « Seminar programme : Michaelmas Term 2009 », dont on trouvera les détails sur le site de
la Faculté (nombreux outils en ligne. [http://www.mml.cam.ac.uk/other/courses/ugrad/neo_latin.html].
— Philip Ford : « Neo-Latin papers ».
1. « Introduction to Neo-Latin Literature 1350-1700 ».
2. « A special subject in Neo-Latin Literature : Marullus, Poliziano, Bèze, Buchanan ».
Il existe également une option de maîtrise, « European Literature », sur l’histoire du livre, qui traite de néo-latin. Suisse, Université de Genève
Cours
— Géraldine Châtelain, TP Baccalauréat, semestres 1 et 2, vendredi 14h-16h, A303, « Lecture commentée de textes latins médiévaux » : « Lecture de textes ».
— Luca Barbieri, Yasmina Foehr-Janssen, Jean-Yves Tilliette, Baccalauréat, semestres 1 et 2, jeudi 14h-16h, salle A113, « Introduction aux études de littérature médiévale » : « Histoire littéraire du Moyen Âge latin, français et provençal ».
Séminaires
— Jean-Yves Tilliette, Baccalauréat et Maîtrise, semestre 1, mercredi 15h-17h, Lausanne, « Littératures du Moyen Âge » : « La culture littéraire à la cour du roi Robert d’Anjou : autour de
l’oeuvre latine de Boccace ».
— Jean-Yves Tilliette, Maîtrise, semestre 1, mercredi 16h-18h, salle B110, « Lecture commentée de textes latins médiévaux » : « Le Chansonnier de Cambridge, premier recueil lyrique du Moyen Âge».
— Jean-Yves Tilliette, Baccalauréat et Maîtrise, semestre 1, jeudi 10h-12h, salle A208, « Histoire culturelle de l’Europe médiévale » : « Poétique du nonsense dans la littérature latine du Moyen Âge
».
— Géraldine Châtelain, Baccalauréat et Maîtrise, semestre 2, mercredi 16h-18h, salle B110, « Lecture commentée de textes latins médiévaux » : « Un aspect de l’oeuvre de Pierre de Blois : le
portrait de l’homme en lettres ».

Colloques 2008

Liste des colloques organisés à propos du latin médiéval et du néo-latin en 2008.

– 15 janvier, Barcelone : Jornada de estudio sobra poesia latina (de l’antiquité tardive à l’époque humaniste), université autonome de Barcelone.

– 2 février, Paris : Journée d’études sur l’hybridité épique, org. O. Pedeflous sous la direction de M. Huchon et J. Dangel, Sorbonne, salle G 647.

– 6-7 février, Bari : Libris satiari nequeo. Biblioteche nel Regno fra Tre e Cinquecento, org. F. Tateo, M. de Nichilo, D. Canfora, C. Corfiati, D. Defilipis, I. Nuovo. Palazzo Ateneo. Salone degli affreschi.

– 22 février, 9h-11h : Journée Horace I, co-organisée par P. Galand-Hallyn (EPHE) et Jean Vignes (TAM, Paris 7). Nathalie Dauvois (Toulouse), « Lyrisme et philosophie : le modèle horatien dans les commentaires de Landino à Lambin et chez les poètes de la Pléiade », au TAM (Université Paris Diderot-Paris7, Bâtiment des Grands Moulins, 75205 Paris Cedex 13).

– 8-10 mars, Montpellier, La notion de Prudence de Gerson à Gassendi, université de Montpellier.

– 14-15 mars 2008, Vérone : journée d’études n°1 sur La représentation du mariage chez les juristes et les poètes humanistes, Giovanni Rossi et P. Galand-Hallyn, première journée d’un diptyque qui se continuera à Paris IV l’an prochain.

– 27-28 mars 2008, Pau, Université de Pau et des Pays de l’Adour, colloque international L’Aquitaine des littératures médiévales (XIe-XIIIe siècles), org. V. Fasseur.

– 3-4 avril 2008, Paris : Paris, 1553 : audaces et innovations poétiques, Auditorium du Louvre et Paris VII, org. Jean Vignes et Olivier Halévy.

– 15 mai 2008, Paris, Les innovations du vocabulaire latin à la fin du Moyen Âge. Autour du Glossaire du latin philosophique (philosophie, théologie, sciences), Journée d’étude, IRHT, centre Félix- Grat, organisation : Olga Weijers (Constantijn Huygens Instituut, La Haye /IRHT).

– 26 mai, Paris : La Fable d’Orphée d’Ange Politien, Université Paris IV-Sorbonne, table ronde suivie d’un concert par la Compagnia dell’Orpheo, dir. Musicale Francis Biggi (Conservatoire de Genève).

– 28-30 mai 2008, Gand : La place de la cosmographie dans la culture de la Renaissance, org. F. Hallyn, Université de Gand, Centre for History of Science. Voir le site: http://sarton.ugent.be/

– 11-14 juin 2008, Paris, Société Internationale pour l’étude de la Théologie Médiévale, congrès international Réceptions des Pères et de leurs écrits au Moyen Age. Le devenir de la tradition ecclésiale.

– 21 juin, Université de Paris VII, Poétiques de la philologie, org. Sophie Rabau.

– 29 juin-2 juillet, Genga (Sassoferrato, Ancona), Seminario di alta cultura, l’innologia dal mondo antico all’umanesimo.

– 1-5 juillet, Tours : LIe Colloque International d’Etudes Humanistes : « Proportions », org. Sabine Rommevaux, Philippe Vendrix et Vasco Zara, C.E.S.R., Université François Rabelais.

– 2-5 juillet, 29e Congresso internazionale di studi umanistici, Sassoferrato (avec célébration de Pierre Damien à Fonte Avellana).

– 2-5 juillet, Gand : La silve : histoire d’une écriture libérée en Europe, de l’Antiquité au XVIIIe siècle. Koninklijke Academie voor nederlandse Taal-en Letterkunde (Koningstraat 18B-9000 Gent.org. Perrine Galand-Hallyn, Philip Ford, Carlos Lévy (dans le cadre du GDR 2837, «Culture latine de la Renaissance européenne », dir. P. Galand-Hallyn). – 21-24 juillet, Chianciano-Pienza (Siena), Vita pubblica e vita privata nel Rinascimento.

– septembre 2008, Bordeaux : Lire, choisir, écrire : la vulgarisation des savoirs du Moyen Age à la Renaissance, org. Violaine Giacomotto-Charra (Bordeaux III) et Christine Silvi (Paris IV).

– 18-20 septembre, Tours : Extravagances amoureuses. L’amour au-delà de la norme à la Renaissance: écart, dépassement, transgression, org. C. Lastraioli et E. Boillet, C.E.S.R.,
Université François Rabelais.

– 24-27 septembre 2008, Paris, 1108-2008. L’influence et le rayonnement de l’école de Saint-Victor de Paris au Moyen Âge, Colloque international du CNRS pour le neuvième
centenaire de la fondation de Saint-Victor, organisation Patrick Gautier Dalché, Patrice Sicard, Luc Jocqué et Dominique Poirel.

– 28 septembre, Tours : La grande peur de la Syphilis à la Renaissance. Retour aux textes sources médicaux, org. J. Vons et F. Fouassier, C.E.S.R., Université François Rabelais.

– Premier Congrès de la Société d’Études Médio et Néo-Latines (SEMEN-L), 15-17 octobre 2008,Université d’Aix en Provence et Maison Méditerranénne des Sciences de l’Homme, « Le Profane et le Sacré dans la culture latine du Ve siècle au XVIIe siècle », organisé par Marc Deramaix, Michèle Gally et Olivier Pédeflous. Le deuxième congrès est prévu pour octobre 2010 à Amiens (voir rubrique Congrès).

– 27-29 octobre 2008, Gand : Tradition et créativité dans les formes gnomiques en Italie et en France à la Renaissance (XIVe-XVIIe siècles), Université de Gand, org. P. Galand- Hallyn (EPHE et Paris IV, Ecole doctorale européenne sur l’Humanisme, Equipe « Rome et ses Renaissances », Centre G. Budé), G. Ruozzi (Bologne), S. Verhulst (Gand), J. Vignes (Paris VII, TAM) et R. Cardini (Florence).

– 29-31 octobre 2008, Florence, Convegno internazionale di studi, Coluccio Salutati e l’invenzione dell’Umanesimo, Direzione generale per i Beni Librari – Ministero per i Beni e le Attività Culturali, Comitato nazionale per le celebrazioni del VI centenario della morte di Coluccio Salutati, Dipartimento di Studi sul Medioevo e il Rinascimento – Università degli Studi di Firenze, Biblioteca Medicea Laurenziana.

– 4-6 décembre 2008, Florence : Colloque international Le radici umanistiche dell’Europa. 1- La diffusione europea del pensiero del Valla, 2- Lorenzo Valla e la riforma della lingua e della logica, Comitato Nazionale per le celebrazioni del VI centenario della nascita di Lorenzo Valla et Scuola del Dottorato internazionale in Civiltà dell’Umanesimo e del Rinascimento, Università degli Studi di Firenze, org. M. Regoliosi, P. Benigni, G. M. Anselmi, R. Campioni, R. Cardini, D. Coppini, F. Lo Monaco. Voir le site: http://www.centrostudiclassicismo.it/home.htm

– 10 décembre 2008, Paris, IRHT, Les écoles au Moyen Âge. Journées d’études de l’IRHT (1re journée d’études, la seconde ayant lieu en mai 2009).