Dignité des Artes : promotion et évolution des arts libéraux de l’Antiquité à la   Renaissance. Sous la direction de Alice Lamy, Anne Raffarin et Émilie Séris, Editions Honoré Champion, collection Colloques, congrès et conférences – le Moyen Âge, n° 30, Paris, 2022, 380 p., 1 vol., broché, 15,5 x 23,5 cm. ISBN 978-2-7453-5750-2.

Dignité des Artes : promotion et évolution des arts libéraux de l’Antiquité à la   Renaissance. Sous la direction de Alice Lamy, Anne Raffarin et Émilie Séris, Editions Honoré Champion, collection Colloques, congrès et conférences – le Moyen Âge, n° 30, Paris, 2022, 380 p., 1 vol., broché, 15,5 x 23,5 cm. ISBN 978-2-7453-5750-2.

Les interrogations actuelles sur la place des Humanités dans l’enseignement et dans la recherche invitent à réfléchir sur leur origine et sur leur histoire. L’objet des rencontres qui se sont tenues en mars et octobre 2019 au château d’Écouen et à la Sorbonne était de retracer quelques grandes étapes de la promotion et de l’évolution des artes de l’Antiquité à la Renaissance. En effet, la notion d’ars émerge progressivement dès l’époque hellénistique pour aboutir au système des sept arts libéraux à la fin de l’Antiquité. Régulièrement repensé au cours du Moyen Âge, le cycle des sept arts se voit bouleversé : la philosophie dispute à la théologie son ancien primat, comme élément unificateur des disciplines. À côté d’elles, la médecine et le droit se constituent au cœur du débat sur la classification des sciences et sur leur utilité. L’Humanisme, en affirmant la place centrale de l’Homme dans l’univers, a encore enrichi les artes d’une dignité nouvelle, reflet de la dignitas hominis, et a valorisé des disciplines spéculatives comme la philosophie, rationnelles comme la grammaire, la rhétorique et la poésie, ou pratiques comme l’architecture, la peinture et la sculpture.

Source : Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°20 (décembre 2022) de la SEMEN-L (p. 44).

Le nu dans la littérature de la Renaissance. Sous la direction d’Emilie Séris, Presses Universitaires François Rabelais, collection Renaissance, Tours, 2022. ISBN 978-2-86906-803-2, 21 x 28 cm, 288 p.

Le nu dans la littérature de la Renaissance. Sous la direction d’Emilie Séris, Presses Universitaires François Rabelais, collection Renaissance, Tours, 2022. ISBN 978-2-86906-803-2, 21 x 28 cm, 288 p.

Contributions de Thomas Baier, Roland Béhar, Gabriele Bucchi, Nicolas Casellato, Guillaume Cassegrain, Donatella Coppini, Évrard Delbey, Susanna Gambino Longo, Giuseppe Germano, Julien Goeury, Antonietta Iacono, Nadeije Laneyrie-Dagen, Virginie Leroux, Julien Maudoux, Francesca Mestre, Valérie Naas, John Nassichuk, Anne-Pascale Pouey-Mounou, Emmanuelle Rosso & Gilles Sauron.

À la Renaissance, le nu a connu dans les arts un développement sans précédent. Observe-t-on un phénomène analogue dans la littérature ? Ce livre, en identifiant une variété de nus dans les textes de la Renaissance et en analysant leurs modèles, leurs significations et leurs procédés d’écriture, propose une première synthèse sur le sujet. Après avoir rappelé les caractéristiques essentielles du nu depuis l’Antiquité, cet ouvrage entend revaloriser la fonction comique de la nudité, aspect minoré par la critique longtemps centrée sur le nu idéal et le mouvement néo-platonicien. En effet, dans la suite de la tradition médiévale, la dérision du corps s’exprime dans la nouvelle en langue italienne, dans l’épigramme latine, mais aussi parfois dans l’élégie ou dans les récits des grandes découvertes, mettant à nu la condition humaine. Toutefois, si le nu alimente à la Renaissance la satire des mœurs, il n’en continue pas moins de célébrer l’amour et la fécondité : littérature et arts perpétuent la fonction érotique du nu archaïque en l’adaptant aux cadres du mariage chrétien. Enfin, les nouvelles théorisations humanistes du corps, qui ont bouleversé sa figuration en art, ont aussi modifié les codes de sa description littéraire : les recherches sur la symétrie du corps humain, sur l’anatomie ou sur le mouvement n’ont pas manqué de travailler le nu dans la littérature de la Renaissance.

Source : Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°20 (décembre 2022) de la SEMEN-L (p. 45).

Émilie SÉRIS, Solus homo nudus, solum animal sapiens. Théories humanistes du nu (XVe-XVIe siècles), Turnhout, Brepols, 2021 (Florence Vuilleumier Laurens)

Émilie SÉRIS, Solus homo nudus, solum animal sapiens. Théories humanistes du nu (XVe-XVIe siècles), coll. « HΦR. Philosophie hellénistique et romaine », Turnhout, Brepols, 2021, 499 p. + 31 planches couleur.

Pendant du colloque organisé et publié par la même autrice — dont nous ne parlerons pas : Le Nu dans la littérature de la Renaissance, coll. « Renaissance » 36, Tours, P.U. François-Rabelais, 2022, 288 p. : autour de quatre aspects principaux illustrant la question (Modèles figurés, Modèles littéraires, Misères et dignité de l’homme, Éros Pan et Hyménée et la Fabrique du nu), le riche et savant ouvrage présenté ici a l’ambition d’en dégager la complexité des fondements théoriques.
L’Avant-propos rend hommage au De Corporis humani harmonia (1555) de Jean Lyège — adaptation versifiée du traité de physiologie de Galien (De usu partium) —, sorte de pierre milliaire qui marque l’hermeneutical turn du Concile de Trente (e.g. les traités de Jan van der Meulen) mettant globalement terme à l’Humanisme militant de la dignitas hominis. L’introduction (64 p.), atteste, en particulier, que l’adjectif substantivé absent du latin classique émerge de façon technique au livre II du De Pictura (1435) de Leon Battista Alberti, lorsqu’il s’agit de peindre un nu (in nudo pingendo) en recouvrant de peau et de chair les os et les muscles — inversant paradoxalement la dénudation du corps par un « vêtement » le rendant propre à être représenté et pensé dans son existence terrestre. Les trattatisti postérieurs reprendront le schéma d’habillage du nu. Celui-ci est analysé sous les trois corps d’une ambitieuse architecture dont les sources anciennes constituent les fondements :

D’abord la Symétrie (microcosme), source de l’harmonie du corps selon les Anciens (Vitruve), se prolonge à la Renaissance avec Cennini, Ghiberti, Alberti etc. pour aboutir à Léonard ; le néoplatonisme ficinien propage l’influence du Timée, qui « harmonise » à son tour les traités postérieurs de Gauricus à Dürer (commensus, diuina proportio, concordia…) ; mais c’est sans compter l’influence de l’enseignement padovan d’Aristote, selon qui la beauté s’adoucit loin de la splendeur par l’union de la belle ordonnance des parties avec la couleur, sous la bannière d’un Nifo, puis Pino, Dolce et Vincenzo Danti (106 p.).
Ensuite l’Anatomie (organisme) : partant des théories médicales antiques d’Hippocrate à Galien, dont se séparera l’exercice du corps (hygieia), illustré en 1569 par le De arte gymnastica de Mercuriale ; cependant un tel détachement, propice à la représentation de l’extérieur du corps (fabrique), ne saura se faire sans retrouver, somme toute, ce que sera la compositio membrorum albertienne (De Pictura, II, 37-38), suivi par Ghiberti, Léonard, Vasari : belle machine ! (Cellini, Danti). L’agencement des membres et les exercices autorisent le mouvement du corps, local par la sensation et le désir propre à l’animal (plus la faculté de représentation humaine), réalisation de la puissance dans la chose, dont on appréciera la variété (Alberti, Léonard, Gauricus, Vasari), la disposition (contraposto, moderatio, ponderazione), le status obliquus pour aboutir à la serpentine. Le corps nu (en mouvement ou non) ne saurait être privé de la grâce, qu’il soit jeune ou âgé, fin ou musclé, agréable ou effrayant (terrible) en raccourci ou plongé dans le chiaroscuro : ce que les toujours mêmes traités rêveront être accompli au sein d’une aurea mediocritas (118 p.).
Enfin, la Physiognomonie (signe de l’âme) poursuit le même cheminement depuis l’Antiquité, puisque l’expression (tirée du De morbis d’Hippocrate) retenue ici est celle des Physiognomonica du Ps.-Aristote, adaptées en latin (après Polémon-Adamantius) au XIIIe siècle ; la Renaissance en dégagera la peinture des caractères dans la mesure où l’état de l’âme modifie l’état du corps et d’abord en suivant une méthode zoologique fixant des types permanents (Léonard : uomo bestiale ; La Porta : timidus/fortis uir) ; une seconde méthode dite « ethnologique » use des caractéristiques somatiques des races humaines et des peuples (Gauricus, Dürer), anticipant l’Examen de Ingenios de Huarte (1603) ; troisième : la comparaison des sexes (Gauricus, Pino) ; quatrième : éthologique (πάϑημα) introduisant (e.g. Gauricus, De sculptura) à l’expression des passions depuis les pertubationes animi d’Alberti et les accidenti mentali de Léonard jusqu’aux passions portées par la force émotionnelle suscitée par la couleur ; ainsi pour le coloris de la chair : teint chez les Anciens, mais chez les Italiens la vaghezza, la morbidezza ordonnées par la regola del colore chez un Lomazzo (119 p.).
En conclusion, les traités humanistes sur l’art élaborent un concept du nu tripartite (corps/esprit/âme) mais unifié par le mouvement au sein de la figure humaine selon les catégories (statuts) de forma, figura et species. Suivent une bibliographie sélective et de belles illustrations en couleur. Le lecteur diligent pourra regretter l’absence d’un Index nominum — mais le volume de l’ouvrage explique cela.

Florence Vuilleumier Laurens

Source : Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°20 (décembre 2022) de la SEMEN-L (p. 45-46).

Le nu dans la littérature de la Renaissance

La SEMEN-L a le plaisir de vous faire connaître la parution de : Le nu dans la littérature de la Renaissance, un ouvrage collectif sous la direction d’Émilie Séris, paru aux Presses Universitaires François-Rabelais, dans la collection « Renaissance ». Il est issu d’un colloque tenu à la Sorbonne du 22 au 24 novembre 2018.

Lien vers le site des PUFR.

Le nu a-t-il eu à la Renaissance le même succès dans la littérature que dans les arts ? Ce livre propose une première synthèse sur le sujet en identifiant une variété de nus dans les textes de la Renaissance et en analysant leurs modèles, leurs significations et leurs procédés d’écriture.

Retravaillant les exemples antiques et médiévaux, la littérature de la Renaissance a développé les fonctions comique et érotique du nu. En effet, dans la suite de la tradition médiévale, la dérision du corps s’exprime dans la nouvelle en langue italienne, dans l’épigramme latine, mais aussi parfois dans l’élégie ou dans les récits des grandes découvertes, mettant à nu la condition humaine. Toutefois, si le nu alimente à la Renaissance la satire des mœurs, il n’en continue pas moins de célébrer l’amour et la fécondité : littérature et arts perpétuent la fonction érotique du nu archaïque en l’adaptant aux cadres du mariage chrétien. Enfin, il apparaît que les nouvelles théorisations humanistes du corps, qui ont bouleversé sa figuration en art, ont aussi modifié les codes de sa description littéraire : les recherches sur la symétrie du corps humain, sur l’anatomie ou sur le mouvement n’ont pas manqué non plus d’influencer le nu dans la littérature de la Renaissance.

Encart de présentation et bon de commande

Sommaire

INTRODUCTION

PARTIE I – MODELES FIGURÉS, MODELES LITTÉRAIRES

Chapitre I – Histoires de nus et de nudité. Sur quelques anecdotes antiques. Valérie Naas

Chapitre II – Les nus sur la mégalographie dionysiaque de la villa des Mystères (Pompéi). Gilles Sauron

Chapitre III – Venus pudica. Portrait féminin et nudité dans la Rome impériale. Emmanuelle Rosso

Chapitre IV – Tableaux et statues de nus dans quelques textes grecs de l’époque impériale. Francesca Mestre.

Chapitre V – Le corps usé des vieilles femmes dans la littérature médiévale. Julien Maudoux.

PARTIE II – MISERE ET DIGNITÉ DE L’HOMME

Chapitre I – Les nudités dans le Décaméron de Boccace. Évrard Delbey

Chapitre II – Il nudo epigrammatico nella poesia umanistica. Donatella Coppini

Chapitre III – La comédie de la nudité dans les Amours de Conrad Celtis. Nicolas Casellato

Chapitre IV – La nudité animale. Identités renaissantes. Guillaume Cassegrain

Chapitre V – Primitivisme et nudité. L’homme demi-nu aux origines de la civilisation. Susanna Gambino Longo

PARTIE III – ÉROS, PAN OU HYMÉNÉE?

Chapitre I – Il nudo tra ethos familiare ad eros coniugale nella poesia di Giovanni Pontano. Giuseppe Germano

Chapitre II – Nuda agitans choros… Valeurs du nu féminin chez Garcilaso de la Vega. Roland Béhar

Chapitre III – La nudité de Suzanne dans une tragicomédie de Charles Godran. John Nassichuk

Chapitre IV – Symbolique érotique et gestuelle. Le topos de la femme au bras levé. Nadeije Laneyrie-Dagen

Chapitre V – Sommeil et nudité. Virginie Leroux

PARTIE IV – LA FABRIQUE DU NU

Chapitre I – Les théories artistiques de Leon Battista Alberti dans l’oeuvre de Cristoforo Landino. Thomas Baier

Chapitre II – Il corpo di Adone nel De hortis Hesperidum di Giovanni Pontano. Antonietta Iacono

Chapitre III – Nude e crude. Le nu féminin dans le Roland furieux. Gabriele Bucchi

Chapitre IV – Portraits de nus dans la poésie de la Pléiade (Ronsard et Baïf). Anne-Pascale Pouey-Mounou

Chapitre V – « Couvrez ce sein… » . Clément Marot et les blasons impudiques. Julien Goeury

Journées d’étude « Léonard de Vinci », Paris, 4-5 avril

La recherche actuelle sur les sources de l’œuvre de Léonard de Vinci, l’analyse de son style littéraire et la fortune de ses écrits confère un intérêt grandissant à son vocabulaire technique (mécanique, optique et anatomique). Dans cette perspective, l’étude fine du lexique de la peinture ouvre des pistes innovantes sur les outils de travail de Léonard dans son atelier où se rencontrent et fusionnent écriture, technique, expériences et création figurative. Le glossaire pictural constitue ainsi le fil rouge reliant les sources écrites de Léonard (la « bibliothèque » perdue de l’écrivain), à ses propres réflexions et à leur mise en œuvre ; il est aussi un fil conducteur permettant d’éclairer la réception et la fortune des écrits de l’artiste dans les traités d’art successifs. La période considérée s’étendra du XIVe siècle au début du XVIIe siècle selon une approche interdisciplinaire associant historiens (de la littérature, de la langue et des arts) et spécialistes de la conservation de l’œuvre figurative de l’artiste ; les documents seront abordés dans leurs contextes culturel, social et artistique de production. Ces Journées d’étude parisiennes seront suivies d’un Colloque international consacré aux textes sur la peinture, intitulé : Leonardo da Vinci e gli scritti di pittura in Europa : fonti e ricezione qui aura lieu à l’Université de Turin du 27 au 29 novembre 2019.

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JEUDI 4 AVRIL 2019

MAISON DE L’ITALIE

 

Session 1 : « Léonard et la peinture : mots, matériaux et techniques »

Présidence de M. Carlo Vecce, professeur à l’Università di Napoli l’Orientale, membre de la Commissione Vinciana

 

9h30  : Introduction par M. Carlo Vecce, professeur à l’Università di Napoli l’Orientale,

membre de la Commissione Vinciana

10h-10h30 : Mme Angela Cerasuolo, restauratrice-conservatrice au Museo e Real Bosco di

Capodimonte (Naples) : Su alcuni termini di Leonardo per materiali e procedimenti della pittura : per una storia del lessico tecnico

10h30-11h : Mme Élisabeth Ravaud, responsable peintures de chevalet au département

Recherche du C2RMF du musée du Louvre : Du texte à la peinture : les techniques picturales

et leur vocabulaire à la lumière des études scientifiques

11h-11h30 : M. Claudio Gulli, historien de l’art au Palazzo Butera (Palerme) : Leonardo e la

parola « cartone »

11h30 : Débat

11h45-12h : Pause-café

 

***

 

Session 2 : « Léonard en perspective : visible et invisible »

Présidence de séance de M. Michel Hochmann, historien de l’art et directeur d’études à

l’École pratique des Hautes Études

 

JEUDI 4 AVRIL 2019 Maison de l’Italie

Session 1 : « Léonard et la peinture : mots, matériaux et techniques »

Présidence de M. Carlo Vecce, professeur à l’Università di Napoli l’Orientale, membre de la Commissione Vinciana

Session 3 : « Le Parallèle des arts et sa réception »

Présidence de séance de Mme Corinne Lucas Fiorato, professeur émérite à l’Université Sorbonne

Nouvelle Paris 3

12h-12h30 : Mme Margherita Quaglino, chercheuse à l’Università di Torino : « Superfitie ridotte

in linie ». Invisibile e sensibile tra ottica e pittura

12h30-13h00 : Mme Typhenn Le Guyader, doctorante et ATER à l’Université Sorbonne

Nouvelle Paris 3 : Des limites de la langue aux limites du visible : la nuit chez Léonard de Vinci

13h : Débat

***

 

Session 3 : « Le Parallèle des arts et sa réception »

Présidence de séance de Mme Corinne Lucas Fiorato, professeur émérite à l’Université Sorbonne

Nouvelle Paris 3

 

15h-15h30 : Mme Eliana Carrara, chercheuse à l’Università degli Studi del Molise : Il tema del

Paragone da Leonardo a Varchi tra analisi lessicale e storia della tradizione manoscritta del

Libro di pittura

15h30-16h : Frédérique Dubard de Gaillarbois, professeur à l’Université de Paris IV-Sorbonne :

« Versificatore e Poeta… Filosofo e Metafisico », le Léonard varchien dans l’Oraison funèbre de

Michel-Ange

16h : Débat

 

***

 

VENDREDI 5 AVRIL 2019

Académie des Inscriptions et Belles-Lettres

Grande Salle des séances de l’Institut de France

 

9h30 : Allocution d’accueil de M. Pierre Laurens, membre de l’Académie des Inscriptions et BellesLettres

 

Session 4 : « La langue de la peinture et sa réception en Italie »

Présidence de séance : M. Pierre Laurens, membre de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres

 

9h45-10h15 : Mme Barbara Fanini, chercheuse postdoctorante à l’Università degli Studi di

Firenze, attachée à l’Accademia della Crusca : « Revolutioni » d’arte, « revolutioni » di lingua

10h15-10h45 : Mme Stefania Tullio Cataldo, chargée de recherche au musée du Louvre : Entre « ritratti » et « medaglie », validité d’une approche philologique dans l’histoire de la pratique d’atelier

10h45 : Débat

11h : Pause-café

 

***

Session 5 : « Lectures de Léonard en France »

Présidence de séance : M. Pierre Laurens, membre de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres

 

11h15-11h45 : Mme Anna Sconza, maître de conférences à l’Université Sorbonne Nouvelle

Paris 3 : D’après Léonard : termes critiques en filigrane dans les Conférences de l’Académie royale

de Peinture et de Sculpture

11h45-12h15 : Mme Laure Fagnart, chercheuse qualifiée du F.R.S.-FNRS (Université de Liège) :

Léonard de Vinci dans les textes de théorie de l’art publiés en France au XVIIe

 siècle. Propos choisis

12h15 : Débat

12h30-15h : présentation de l’exposition des Carnets de Léonard par Mme Françoise Bérard,

directeur de la Bibliothèque de l’Institut de France (sur inscription)

***

 

Session 5 : « Lectures de Léonard en France »

Présidence de séance : M. Pierre Laurens, membre de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres

 

11h15-11h45 : Mme Anna Sconza, maître de conférences à l’Université Sorbonne Nouvelle

Paris 3 : D’après Léonard : termes critiques en filigrane dans les Conférences de l’Académie royale

de Peinture et de Sculpture

11h45-12h15 : Mme Laure Fagnart, chercheuse qualifiée du F.R.S.-FNRS (Université de Liège) :

Léonard de Vinci dans les textes de théorie de l’art publiés en France au XVIIe

 siècle. Propos choisis

12h15 : Débat

12h30-15h : présentation de l’exposition des Carnets de Léonard par Mme Françoise Bérard,

directeur de la Bibliothèque de l’Institut de France (sur inscription)

 

15h30 : séance publique de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres sous la présidence

de M. Jean-Noël Robert, Président de l’Académie

Communication de M. Carlo Vecce, professeur à l’Università di Napoli l’Orientale, sous le

patronage de MM. Jean-Noël Robert, Président de de l’Académie, et Pierre Laurens, membre

de l’Académie : Les livres et le temps : la bibliothèque de Léonard de Vinci

Communication de M. Robert Halleux, associé étranger de l’Académie : Léonard ingénieur :

la transgression technologique

Comité scientifique : Lucia Bertolini, Eliana Carrara, Francesco P. Di Teodoro, Laure Fagnart, Corinne Lucas Fiorato, Giovanna Frosini, Michel Hochmann, Paola Manni, Enrico Mattioda, Margherita Quaglino, Matteo Residori, Piera Giovanna Tordella, Anna Sconza, Carlo Vecce Comité d’organisation : Michela Del Savio, Typhenn Le Guyader, Margherita Quaglino, Anna Sconza Contacts : paristurin2019@gmail.com; margherita.quaglino@unito.it ; anna.sconza@sorbonne-nouvelle.fr Partenaires scientifiques : Accademia della Crusca, Biblioteca Leonardiana – Centro di ricerca e documentazione per gli studi Leonardiani, École Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Politecnico di Torino, Université de Liège Journées organisées avec le soutien de la Commission de la recherche et du Département d’études italiennes et roumaines de la Sorbonne Nouvelle Paris 3, de l’Institut Français d’Italie et du Comitato nazionale per le Celebrazioni dei 500 anni dalla morte di Leonardo da Vinci

Colloque « Peintures et figures de nus dans la littérature »

Cliquez sur l'image pour télécharger le programme.

JEUDI 22 NOVEMBRE 2018

 

14h00       Accueil des participants

 

MODÈLES FIGURÉS, MODÈLES LITTÉRAIRES

14h30       Valérie Naas (Sorbonne Université Lettres), « Approches sur le nu dans l’Antiquité »

15h00       Gilles Sauron (Sorbonne Université Lettres), « Le nu dans la grande fresque dionysiaque de la villa des Mystères à Pompéi »

15h30       Emmanuelle Rosso (Sorbonne Université Lettres – IUF), « Portrait et nudité à Rome : le nu féminin dans la statuaire d’époque impériale »

Discussion et pause

16h30 Francesca Mestre (Université de Barcelone), « Tableaux et statues : le corps humain dans les textes grecs de l’époque impériale (Lucien, les Philostrate, Callistrate) ».

17h00       Julien Maudoux (Université Bordeaux Montaigne) : « Naturae desipientis opus : le corps usé des vieilles femmes dans la littérature médiévale »

Discussion

 
  

 

VENDREDI 23 NOVEMBRE 2018

 

MISÈRE ET DIGNITÉ DE L’HOMME

9h00         Evrard Delbey (Université de Nice) : « La nudité dans Le Décaméron : questions d’éthique et de rhétorique? »

9h30         Donatella Coppini (Université de Florence) : « Il nudo comico-epigrammatico nella letteratura umanistica »

10h00 Nicolas Casellato (Sorbonne Université Lettres), « ‘Nu comme un vers’: mise en scène de soi et réélaboration parodique de la nudité dans les Amores de Conrad Celtis (1502) »

Discussion et pause

11h00       Guillaume Cassegrain (Université de Grenoble), « Le nu à la renverse. Regard indiscret sur le corps dans les images de la première modernité »

11h30       Susanna Gambino Longo (Université Lyon III-Jean Moulin), « Primitivisme et nudité : l’homme demi-nu aux origines de la civilisation »

12h00       Marc Deramaix (Université de Rouen), « Nu vulgaire et nu latin : le nu et son vêtement chez Sannazar ».

Discussion et déjeuner

 

DÉVOILEMENTS ÉROTIQUES ET SYMBOLIQUES

14h30      Giuseppe Germano (Université de Naples), « Rappresentazione della nudità tra vita familiare e gioco amoroso nella poesia di Giovanni Pontano »

15h00      Roland Béhar (ENS Paris), « Nuda agitans choros… : valeurs du nu féminin dans la poésie de Garcilaso de la Vega »

15h30      John Nassichuk (Université de l’Ontario) : « La nudité de Suzanne dans une tragédie latine de Charles Godran (1571) »

Discussion et pause

16h30      Nadeije Laneyrie-Dagen (ENS Paris), « Symbolique érotique et gestuelle : le topos de la femme au bras levé »

17h00 Virginie Leroux (EPHE), « Sommeil et nudité »

Discussion

 
  

 

SAMEDI 24 NOVEMBRE 2018

 

LA FABRIQUE DU NU

9h00 Thomas Baier (Université de Würzburg),

« Conspectu ut primo stupuit… Le portrait féminin chez Cristoforo Landino »

9h30  Antonietta Iacono (Université de Naples),

« Il corpo di Adone nel De hortis Hesperidum

di Giovanni Pontano »

10h00 Gabriele Bucchi (Université de Lausanne),

« Le corps contemplé et le corps rêvé : le nu dans le Roland Furieux »

Discussion et pause

11h00 Anne-Pascale Pouey-Mounou (Sorbonne Université Lettres – IUF), « Portraits de nus dans la poésie de la Pléiade »

11h30 Julien Goeury (Université de Picardie),

« Parlons aussi des membres seulement / Que l’on peut voir sans honte découverts » : La question du corps dénudé dans les recueils de Blasons anatomiques.

Colloques 2018-2019

Retrouvez ci-dessous la liste des colloques pour les années 2018-2019 concernant le latin médiéval et le néo-latin, recensés par la SEMEN-L.

– 27-29 sept. 2018, Bruxelles, Palais des Académies : « Zeuxis redivivus. Art et émulation dans l’Europe du XIVe au XVIIe siècle », org. M. Bert (UCLouvain–American University of Paris) et L. Fagnart (FNRS – Université de Liège).
– 2 oct. 2018, 9 h 30-17 h, Paris, IRHT, La Catena aurea de Thomas d’Aquin sur les Évangiles. Une chaîne de chaînes au défi de l’édition électronique, org. M. Morard.
– 26-27 oct. 2018, Bâle, Journées d’études, « ‘Ce n’est pas un mensonge, ains un divin presage’. Interroger la vérité du songe dans la littérature française de la Renaissance », org. D. Brancher, N. Hugot et A. Lesage.
– 8-10 nov. 2018, Clermont, Université Clermont Auvergne, colloque international « Présences ovidiennes », org. R. Poignault et H. Vial (CELIS, EA4280).
– 22-23 nov. 2018, Paris, Sorbonne, colloque de la Société d’Histoire littéraire de la France, « Poésie et éthique (XVIe – XXIe siècles) », org. A. Génetiot (U. Lorraine)
– 22-24 nov. 2018, Paris, Sorbonne Université Lettres, colloque international « Peintures et figures de nus dans la littérature de l’Antiquité à la Renaissance », org. É. Séris (« Rome et ses renaissances » EA4081).
– 29, 30 nov.-1er déc. 2018, Université de Rouen, Colloque « Dialogue et Enseignement », org. M. Lucciano et J.-P. De Giorgio.
– 17-19 déc. 2018, Lyon, U. Lumière Lyon 2-ENS de Lyon –U. Jean Moulin Lyon 3, Congrès du GIS « Humanités, Sources et langues de l’Europe et de la Méditerranée » : « Étudier les Humanités aujourd’hui : nouveaux enjeux et nouvelles méthodes ».
– 17-18 janv. 2019, UPJV-Amiens, Logis du Roi, « Le théâtre et les genres dialogués de l’Antiquité à la Renaissance. Volet 2 : du genre dramatique aux genres dialogiques », dir. L. Boulègue et G. Ierano ((UPJV/EA 4284 TrAme- U. Trento).
– 18-19 janv. 2019, U. Paris Sorbonne, Colloque « Les Anthologies poétiques au XVIe siècle », org. A. Lionetto et J.-C. Monferran.
– 24-26 janv. 2019, Paris, Hôtel de Lauzun, « La Page monumentalisée », org. R. Béhar (ENS, PSL), C. Bénévent (ENC, PSL) et V. Leroux (EPHE, PSL) et Paris, ENS, « Projet Page », org. I. Pantin (ENS, PSL).
– 7-8 mars 2019, Paris, IRHT, Centre Félix-Grat, Les médiévistes face à la documentation des érudits modernes. Méthodes et enjeux, Organisation J. Delmulle (IRHT) et H. Morvan (U. Bordeaux-Montaigne).
– 17-19 mars 2019 : Congrès annuel de la Renaissance Society of America, Toronto.
– 27-29 mars 2019, Aix en Provence, U. d’Aix-Marseille, colloque international « Seneca tragicus : Vir, vis, violentia, virtus, virago, la virilité et ses déclinaisons dans le théâtre de Sénèque et chez ses émules de Mussato à nos jours», org. B. Charlet-Mesdjian, C. Ferradou et C. Flicker (CAER-CIELAM, AMU).
– 30 mars 2019, Écouen, Musée du château, 1ère journée d’étude sur la « Dignité des Artes », org. A. Lamy, A. Raffarin et É. Séris (Sorbonne Université Lettres, EA4081-IUF).
– 12-13 avril 2019, Paris, Sorbonne Université Lettres–Académie des Inscriptions et Belles Lettres, colloque international « Serio ludere. D’Alberti à Érasme », org. H. Casanova-Robin, F. Furlan, P. Laurens, H. Wulfram.
– Mai 2019, Paris, IRHT, « L’édition critique et ses méthodes », org. F. Barone et D. Poirel.
– 23-24 mai 2019, U. Grenoble-Alpes, Colloque « Pensée et pratique de l’intrigue comique (Italie, France, XVIe-XVIIIe siècles) », org. C. Louette et J.-Y. Vialleton
– 30 mai -1er juin 2019, Toulouse, “The Gestures of Diplomacy: Gifts, Ceremony, Body Language(1400-1750),http://saesfrance.org/30th-may-1st-june-2019-the gestures-of-diplomacy-gifts-ceremony-body-language-1400-1750-toulouse-france.
– 27-29 juin 2019, Fribourg, Universität Freiburg, 21e congrès NeoLatina : « Carolus Quintus : l’empereur Charles Quint dans la littérature néo-latine », org. V. Leroux (EPHE, PSL), M. Laureys (Universität Bonn), F. Schaffenrath (Ludwig Boltzmann Institut für Neulateinische Studien, Innsbruck) et S. Tilg (Universität Freiburg).

Colloques 2017-2018

– 20-22 septembre 2017, IRHT (Centre Félix-Grat) et École nationale des chartes, colloque « Le manuscrit franciscain retrouvé », Organisation : BnF et IRHT, avec le soutien du LabEx Hastec, du Centre de recherches historiques (EHESS-CNRS), d’APICES, de la Fondation André Vauchez (Balzan) et de la galerie Les Enluminures

– 26-28 septembre 2017, Paris, Université Paris 7, La fureur dans tous ses états, org. laure_westphal@hotmail.fr (Laboratoire CRPMS, UFR d’Etudes Psychanalytiques), annegrondeux@gmail.com (Laboratoire HTL, UMR 7597) dubreuil.marthe@orange.fr (Laboratoire CRPMS, UFR d’Etudes Psychanalytiques)
– 12-13 octobre 2017, IRHT (Centre Félix-Grat), BnF (site François-Mitterrand), colloque « Census. Recenser et identifier les manuscrits par langue et par pays », Organisation : F. Bougard, M. Cassin (IRHT), A. Postec (BnF)

-13 octobre, Florence, journée d’études Attualizzare il passato. Percorsi della cultura europea moderna fra storiografia e saperi degli antichi, org. Ida Gilda Mastrorosa, Università degli Studi di Firenze.

– 19 octobre 2017, Paris, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Luigi-Alberto Sanchi, « La Renaissance du grec et ses conséquences ».

– 26-27 octobre 2017, Nanterre, La réception d’Ausone dans les littératures européennes, Université Paris Nanterre, Bâtiment Max Weber, org. E. Wolff, Équipe THEMAM, UMR 7041 ArScAn, contact : ewolff@parisnanterre.fr

– 16 novembre 2017, Paris, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Gilles Couffignal, La Renaissance des langues.

– 17 novembre 2017, 10 h-18 h. Chartres, Médiathèque l’Apostrophe. Journée d’étude « Les rescapés du feu : l’imagerie scientifique au service des manuscrits de Chartres ». Organisation Médiathèque l’Apostrophe de Chartres, CRCC, IRHT

– 23-24 novembre, École française de Rome, colloque : « ‘Tocco di’. Chansonniers aux mains des humanistes italiens et français ». Organisation : Maria Careri (IRHT, Univ. Chieti Pescara), École française de Rome (LAMOP)

– 1er décembre 2017, Louvain, Université de Louvain-la-Neuve, Journée d’études du projet Schol’Art, 1er décembre 2017, org. A. Smeesters, A. Guiderdoni et R. Dekoninck.

– 4-5 décembre 2017, Paris, La Bible et sa réception dans les arts, Moyen-Age, Renaissance, Epoque moderne, 2e colloque MEODE, org. C. Cosme, E. Ingrand, F. Ploton, OT Venard et V. Zarini.

– 13 décembre 2017, Amiens, journée d’études mastériale Écritures et pratiques du commentaire de l’Antiquité à la Renaissance, org. L. Boulègue et L. Claire, Université de Picardie Jules Verne, Logis du Roy.
– 14 décembre 2017, Paris, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Michela Malpangotto, Peut-on parler d’un « Humanisme arabo-latin » ? Le cas de l’astronomie.

– 18 janvier 2018, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Clémence Revest, Les lieux de mémoire de l’Humanisme.

– 25-27 janvier 2018, Université de Strasbourg, Poésie, Bible et théologie de l’Antiquité tardive au Moyen Âge (IVe-XVe siècle), org. Gianfranco Agosti, Frédéric Chapot, Michele Cutino, Patricio de Navascués, François Ploton-Nicollet, Vincent Zarini.

– 1-3 février 2018, Aix-en-Provence, MMSH, salle Duby, Colloque international sur les Pratiques artistiques et littéraires des architectures et décors fictifs de l’Antiquité au XVIIIe siècle : entre fiction, illusion et réalité, org. Pedro Duarte (pedro.duarte@univ-amu.fr), Cécile Durvye (durvye@mmsh.univ-aix.fr), G. Herbert de la Portbarré-Viard (gaelle.viard@dbmail.com), Renaud Robert (renaud.robert@u-bordeaux3.fr)

– 8 février 2018, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Adeline Lionetto et Nahéma Khattabi, Les fêtes de Fontainebleau (1564) : musique et poésie au temps des Valois.

– 14-17 mars 2018, Würzburg, Formen der Selbstthematisierung in der vormodernen Lyrik (bis 1650), org. T. Baier (thomas.baier@uni-wuerzburg.de), B. Burrichte (brigitte.burrichte@uni-wurzburg.de), M. Erler (michael.erler@wuerzburg.de), I. Karreman (isabelle.karremann@uni-wuerzburg.de) et D. Klein (dorothea.klein@germanistik.uni-wuerburg.de).

– 22 mars 2018, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Gaëlle Demelemestre : Philosophie et droit chez les humanistes.

– 22-24 mars 2018, Hilton New Orleans Riverside, RSA 2018, Conference hashtag: #RenSA18

– 23-25 mars 2018, Université de Dijon, L’imperfection de l’Antiquité à la Renaissance, org. S. Laigneau-Fontaine et X. Bonnier.

– 26-28 mars 2018, 10h-17h, IRHT (Centre Augustin-Thierry, Orléans), Médiathèque d’Orléans, Journée d’étude « Mémoires musicales et notations millénaires dans les sources antiques et médiévales », Organisation : D. Delattre, J.-F. Goudesenne (IRHT) et M. Pérès (Cerimm, Moissac)

– 19 avril 2018, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Luisa Brunori, Banques et finances à la Renaissance.

– 3-5 mai 2018, Les Noces de Philologie et de Guillaume Budé, Paris, 3-5 mai 2017, org. C. Benevent, R. Memini et L.-A. Sanchi.

– 4 mai, 10 h-17 h, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Journée thématique « 80 ans de recherche à l’IRHT », Organisation : IRHT

– 15-16 mai 2018, Trento, Le dialogue dramatique de l’Antiquité à la Renaissance : théories et pratiques, org. Giorgio Ierano, U. Trento et Laurence Boulègue, UPJV/ EA 4284 TrAme.

– 17 mai 2018, 17h00 – 19h00, Bibliothèque de la Sorbonne – Salle de formation de la BIS, Pascale Dubus, Le retour à l’antique dans la peinture italienne de la Renaissance

– 25 mai 2018, Journée d’étude en hommage à Pierre Courcelle, org. Olga Vassilieva-Codognet et Vincent Zarini.

– 30 mai – 1er juin 2018, Université de Caen, Congrès de la SEMEN-L – « Rire et sourire dans la littérature latine, au Moyen Âge et à la Renaissance », org. B. Gauvin.

– 14, 15 et 16 juin 2018, Université de Göttingen, Colloque international et interdisciplinaire Mollesses de la Renaissance : Défaillances et assouplissement du masculin, org. Daniele Maira, contact : daniele.maira@phil.uni-goettingen.de

– 2-5 juillet 2018, CESR- Université de Tours, Les femmes illustres de l’Antiquité grecque au miroir des Modernes (XVe-XVIe siècles), org. D. Cuny, S. Ferrara et B. Pouderon.

– 29 juillet- 7 août 2018, Albacete, XVIIe Congrès de l’Association Internationale d’Etudes Néo-Latines. Site web : http://eventos.uclm.es/6255.html

Colloques 2013

Colloques 2013

– 13-14 mars, Toulouse, Université de Toulouse II-Le Mirail, « ‘Micro récits’ de l’Antiquité et écriture de l’histoire à la Renaissance », colloque international du Laboratoire PLH-Erasme organisé par Bérangère Basset, Olivier Guerrier, Pascal Payen. Contact : Philippe Marengo (marengo@univ-tlse2.fr)

– 15 mars 2013, Université de Lille III, « La Muse s’amuse : figures insolites de la Muse à la Renaissance », seconde des deux journées d’études organisées par Perrine Galand et Anne-Pascale Pouey-Mounou.

– 22-23 mars 2013, BnF-Université de Paris 7- SFDES, L’année 1570, Colloque organisé par Jean Vignes, Isabelle His et Hugues Daussy

– 4-6 avril 2013, San Diego, California, Renaissance Society of America, annual meeting

– 7-8 avril 2013, Bordeaux, Université Michel de Montaigne, « La lettre au carrefour des genres et des traditions», colloque international co-organisé par les équipes AMERIBER EA 3656 et CLARE EA 4593, Elvezio Canonica (AMERIBER, Elvezio.Canonica-De-Rochemonteix@u-bordeaux3.fr et Cristina Panzera (CLARE, Cristina.Panzera@u-bordeaux3.fr

– 12 avril, Lyon, et 17 mai 2013, Valenciennes, « Érasme et la France », colloque co-organisé par, l’Université de Lyon II (UMR 5037) et l’Université de Valenciennes, Blandine Perona (Calhiste, blandine.perona@univ-tln.fr) et Tristan Vigliano (GRAC, tristan.vigliano@univ-lyon2.fr)

– 18-20 mai 2013, Lexington, University of Kentucky, 66th Annual Languages, Literatures, and Cultures Conference (web.as.uky.edu/kflc/)

– 22-25 mai 2013, Rome, École française de Rome et Biblioteca Nazionale Centrale di Roma, Colloque international « Marc Antoine Muret. Un humaniste français en Italie », organisé par Christine de Buzon, Philip Ford, Jean-Eudes Girot, Raphaële Mouren, Laurence Pradelle et Marina Venier

– 3-5 juin 2013, Rouen, Maison de l’Université, « Le modèle et les originaux. Imitations de Virgile à Naples entre Regno aragonais et vice-royaume espagnol », colloque international organisé par Marc Deramaix (Rouen, marc.deramaix@univ-rouen.fr), Giuseppe Germano (Federico II, Naples, germano@unina.it)

– 3-6 juin 2013, Villa Vigoni, Atelier néo-latin II. Horatius lyricus. Responsable : Nathalie Dauvois

-12-13 juillet 2013, Würzburg, 15. Neulateinisches Symposium NeoLatina « Würzburger Humanismus », organisé par Thomas Baier (thomas.baier@uni-wuerzburg.de)

-26-30 août 2013, Lyon, Université Louis Lumière-Lyon II, Université Jean Moulin-Lyon III et Ecole Normale Supérieure, « L’homme et ses passions », XVIIe Congrès international de l’Association Guillaume Budé, session de littérature française et néo-latine organisée par Laurence Boulègue (Amiens, laurence.boulegue@free.fr) et Emmanuel Naya (Lyon II, emmanuel.naya@univ-lyon2.fr)

-12-14 septembre 2013, Oxford, Magdalen College, « Theatrum Mundi: Latin Drama in Renaissance Europe », Sarah Knight (University of Leicester, sk218@le.ac.uk)
– 10-11 octobre 2013, Louvain-la-Neuve, « Epigrammes et tableaux : un dialogue entre poésie et peinture (15e – 17e siècles) », colloque organisé sous l’égide du GEMCA/Group for Early Modern Cultural Analysis (http://gemca.fltr.ucl.ac.be) dans le cadre du projet « Poésie et poétique néo-latines ». Contact : Aline Smeesters (Louvain, aline.smeesters@uclouvain.be)
– 14-15 octobre 2013, Paris, Université Paris IV-Sorbonne, « Boccace humaniste latin », colloque international organisé par Hélène Casanova-Robin (Paris IV, casanova-robin@club-internet.fr) et Franck Labrasca (Tours, labrasca@yahoo.fr)
– 8-10 novembre 2013, Münster, Université de Münster, « Boccaccio Latinus », colloque international organisé par Karl Enenkel (Münster, kenen 01@uni-muenster.de), Tobias Leuker (Münster, tleuk 01@ uni-muenster.de) et Christoph Pieper (Leiden, c.pieper@hum.leidenuniv.nl)