Pomel Fabienne et Van de Meeren Sophie (dir.), Philosophie et fiction de l’Antiquité tardive à la Renaissance, Leuven, Peeters publishers, Collection Synthema, n°12, 2021

Pomel Fabienne et Van de Meeren Sophie (dir.), Philosophie et fiction de l’Antiquité tardive à la Renaissance, Leuven, Peeters publishers, Collection Synthema, n°12, 2021, 358p.

Quels étaient les représentations et enjeux de la philosophie et de la fiction, leurs échanges, interactions et zones frontières de l’Antiquité tardive jusqu’à la Renaissance ? La fiction peut apparaître comme l’envers de la vérité. Elle n’en est pas moins une forme de recherche de vérité, savoir ou sagesse : Augustin, Macrobe, Martianus Capella ou Boèce, puis les poèmes allégoriques latins du XIIe siècle, les encyclopédies du XIIIe siècle, suivies par des œuvres allégoriques écrites dans le milieu de la cour de Charles V et Charles VI ou encore par Ficin problématisent le statut de la fiction : quelle est sa légitimation philosophique ? Quels sont les rapports entre philosophie et arts libéraux, philosophie et poétique, philosophie et théologie ? Les contributions interrogent le lexique et l’arrière-plan philosophique. Elles examinent aussi les moyens de la fiction pour mettre en œuvre un projet herméneutique et heuristique fécond : la personnification, la prosopopée, les modèles narratifs (banquet ou voie) ou le cadre dialogique.

Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°19 (2021) de la SEMEN-L (p. 74-75).

Florence Vuilleumier Laurens, L’Université, la robe et la librairie à Paris. Claude Mignault et le Syntagma de symbolis (1571-1602), Genève, Droz, « Travaux d’Humanisme et Renaissance », 2017 (Laurence Boulègue)

Florence Vuilleumier Laurens, L’Université, la robe et la librairie à Paris. Claude Mignault et le Syntagma de symbolis (1571-1602), Genève, Droz, « Travaux d’Humanisme et Renaissance », 2017, 329 p., 49 €.

Consacré au Traité des symboles de Claude Mignault, l’ouvrage de Florence Vuilleumier Laurens comble une lacune importante à la fois dans le champ des études consacrées à l’œuvre de l’auteur lui-même et dans celui consacré aux Emblèmes d’Alciat, dont le brillant commentaire de Mignault est pourtant bien connu, sans que la célèbre préface Syntagma de symbolis ait pourtant fait l’objet d’une traduction française et d’une véritable histoire. C’est chose faite désormais grâce à la première édition et traduction en langue française de ce texte, préface des éditions des Emblemata depuis 1571, mais plusieurs fois remis sur l’ouvrage et augmenté par le commentateur. Le travail sur le texte est fondé sur l’édition aboutie et définitive de 1602, mais aussi sur la consultation des quatre éditions précédentes (1571, 1573, 1577, 1581), des deux versions de 1584 (version compendiosa et version latino- française abrégée) et des modifications ou ajouts apportés par les éditons de 1577 et 1621. C’est ce minutieux travail philologique – accompagné d’une élégante traduction en regard du texte latin – qui a permis d’approfondir l’histoire du texte et de sa composition, de 1571 à 1602, étudiée dans la vaste étude introductive (p. 7-152). L’ouvrage est complété par un Index nominum très complet et diverses annexes présentant notamment les autres pièces liminaires de l’auteur.

L’étude de Florence Vuilleumier Laurens montre le lien étroit, chez Mignault, entre la théorie de l’emblème et de l’allégorie, son enseignement académique et son parcours dans les milieux de l’édition et des juristes en développant quatre aspects de la carrière de l’auteur et du développement d’un genre autour et à partir de l’emblème. La première partie est consacrée au parcours de formation de Mignault jusqu’à son entrée à l’Université qui coïncide avec la première version des commentaires et du Syntagma de symbolis. La deuxième partie étudie l’évolution de la théorie et de la pratique du commentaire humaniste de Landino, Politien, Juste Lipse, jusqu’à Pierre de la Ramée, éclairant la conception exposée dans le Syntagma de symbolis, en particulier celle de l’allégorie, précédant et préparant ainsi, dans un troisième temps, l’analyse de la préface elle-même et de ses différentes strates de composition, nœud et résultat de l’enquête philologique ici menée avec rigueur, qui éclaire la collaboration entre Mignault et Plantin de 1573 à 1581 et l’évolution de la simple préface initiale en un traité fondateur pour toute l’Europe de la fin du XVIe siècle et du XVIIe siècle, séduite par le symbole, l’emblème, l’énigme. La quatrième partie offre une analyse des « enjeux théoriques du Syntagma » et de la création par l’auteur d’un genre réunissant les diverses formes, antiques et modernes, qui dessinent le champ du symbolique, fondé sur le modèle pythagoricien pour aboutir aux premières devises royales.

La lecture du traité de Mignault et la remarquable étude qu’en fait Florence Vuilleumier Laurens entraînent le lecteur dans un monde à la fois connu – celui du commentaire humaniste au sens large – et énigmatique – celui- là même qui fascine aussi Mignault et l’emmène à définir un nouveau champ philologique.

Laurence Boulègue (UPJV)

Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°17 (2019) de la SEMEN-L (p. 42-43).

Jacquemard Catherine, Gauvin Brigitte, Lucas-Avenel Marie-Agnès & Clavel Benoît (dir.), Animaux aquatiques et monstres des mers septentrionales (imaginer, connaître, exploiter, de l’Antiquité à 1600), Anthropozoologica, vol. 53, 2019.

Jacquemard Catherine, Gauvin Brigitte, Lucas-Avenel Marie-Agnès & Clavel Benoît (dir.), Animaux aquatiques et monstres des mers septentrionales (imaginer, connaître, exploiter, de l’Antiquité à 1600), Anthropozoologica, vol. 53, 2019.

Du 31 mai au 3 juin 2017 s’est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle un colloque international intitulé « Animaux aquatiques et monstres des mers septentrionales (Imaginer, connaître, exploiter, de l’Antiquité à 1600) », organisé par le Centre Michel de Boüard – Craham (UMR 6273, Université de Caen Normandie – CNRS). Les thématiques développées pendant le colloque sont l’identification la dénomination et le classement des espèces ; l’étude des produits de la mer, la pêche, le commerce et la consommation ; la littérature, les représentations, imaginaires et allégories.

Cette recension a été publiée dans le Bulletin de liaison n°19 (2021) de la SEMEN-L (p. 70).

Journée d’études « Éditer le théâtre médiéval et humaniste »

Éditer le théâtre médiéval et humaniste dans l’espace roman

Journée d’études organisée par Béatrice Charlet le lundi 12 mars à l’Université d’Aix-Marseille

Affiche : Affiche 3-Editer le théâtre médiéval

Programme détaillé : ‘études120318

 

Éditer le théâtre médiéval et humaniste de l’Espace roman

lundi 12 mars 2018, MDR ALLSH, T 1, Salle 1

 

9 h – Accueil

9 h 30 – 9 h 45 ouverture de la journée par les autorités

 

9 h 45 – 10 h

Corinne Flicker, Chargée de Mission « Maison du Théâtre d’AMU », AMU, CIELAM

  • Présentation de la Maison du Théâtre d’AMU et des projets associés

 

10 h – 10 h 30

Stefano Pittaluga

  • Les deux redactions de la Philodoxeos Fabula de Leon Battista Alberti

La Philodoxeos fabula est une comédie allégorique latine composée par Leon Battista Alberti en 1424 et reprise par lui-même une dizaine d’années plus tard. Cette seconde rédaction présente de profondes modifications, innovations, corrections et variantes d’auteur. La première rédaction est transmise par 19 manuscrits qui remontent à un archétype « évolutif » que l’auteur a remanié sans cesse; en revanche, la seconde rédaction est transmise par deux manuscrits seulement. La double rédaction pose d’importants problèmes ecdotiques, auxquels s’ajoute la difficulté d’opérer la distinction entre variantes d’auteur et innovations dues à la tradition textuelle.

10 h 30 – 10 h 45 discussion

 

10 h 45 – 11 h 15

Clara Fossati, Univ. Gênes

  • Les comédies de Tito Livio Frulovisi : problèmes ecdoticques

La communication vise à présenter brièvement le profil biographique de l’humaniste ferrarais Tito Livio Frulovisi et la genèse de son corpus de comédies ; elle met en particulier l’accent sur les problèmes ecdotiques qui découlent surtout de ce que l’éditeur n’a à sa disposition qu’un codex unicus comportant un nombre de fautes non négligeable.

11 h 15 – 11h 30 discussion

 

11h 30 – 12 h

Bernard Darbord, Univ. Paris X Nanterre

  • Gil Vicente, O pranto de Maria Parda (Lisbonne, 1522) : réflexion sur le texte

Cette courte pièce de Gil Vicente a été éditée, traduite et présentée par Paul Teyssier (Paris, Chandeigne, 1995). Ce remarquable travail d’édition nous a permis de réfléchir sur certains caractères du théâtre de Gil Vicente : langue (bilinguisme), lexique, métrique, esthétique théâtrale. Le nom du personnage principal et l’incipit de la pièce sont l’objet d’une analyse particulière.

12h – 12 h 15 discussion

 

12 h 15 – 14 h 30 Pause repas

 

14 h 30 – 15 h

Théa Picquet, AMU, CAER-EA 854 / UMR TELEMME

  • L’Erofilomachia de Sforza d’Oddi (1572) et sa traduction française

Dans les pages « Au lecteur » qui ouvrent sa comédie, Clarice ou l’Amour constant, Jean Rotrou (1609-1650) se présente comme le traducteur de Sforza Oddi en ces termes : « Je ferois tort à l’Autheur Italien Sforza d’Oddi, si je dérobois à sa reputation la gloire de cet ouvrage ; je n’en suis que le Traducteur… », écrit-il.

Notre propos se donne pour objectif d’analyser cette édition française pour déterminer la part de fidélité à l’œuvre originelle, L’Erofilomachia, et celle de son originalité.

16 h 45 – 17 h Discussion

15 h – 15 h 15 discussion

15 h 15 – 15h 45

Carine Ferradou, AMU, CAER-EA 854

  • Éditer le théâtre humaniste : le cas des tragédies sacrées de Buchanan

Les deux tragédies sacrées latines de l’humaniste écossais, George Buchanan, Jephthes sive Votum (Paris, 1554) et Baptistes sive Calumnia (Londres, 1577) ont fait l’objet de nombreuses publications entre le XVIe siècle et le XVIIe siècle, dans toute l’Europe ; leurs traductions en langues vernaculaires également. Le projet actuel contracté avec les Classiques Garnier a comme originalité de remettre en perspective les œuvres de Buchanan avec leurs traductions françaises humanistes en se composant de deux volumes, le premier consacré à Jephthes et Baptistes (édition critique et traduction française contemporaine), le second aux traductions françaises du XVIe siècle et du début du XVIIe siècle. Le but est de mettre en lumière le rôle de relai joué par le théâtre latin de Buchanan entre le modèle de la tragédie antique et la dramaturgie française de la Renaissance.

15 h 45 – 16 h discussion

 

16 h – 16 h 15 Pause : thé ou café

16 h 15 – 16 h 45

Raffaele Ruggiero, AMU,  CAER- EA 854

  • la Clizia de Machiavel (1525) entre lecture et mise en scène

Les deux manuscrits principaux de la tradition textuelle de la Clizia, le ms. Colchester et le Boncompagni- Vatican, semblent avoir deux origines différentes : le premier, manifestement conçu pour servir de base à l’édition imprimée, présente tous les caractères d’une révision linguistique menée dans le but de la publication (et donc de la « lecture » du texte), l’autre – le Boncompagni- apparaît plutôt comme un canovaccio (canevas) réalisé par une compagnie d’acteurs en vue d’une représentation de la comédie en dehors du milieu florentin.

17 h – 17 h 30 clôture

Quelques références bibliographiques :

Alciato Andrea, Filargiro, texte latin et traduction italienne de R. Ruggiero, introduction de G. Rossi, Torino, Nino Aragno 2016.

Frulovisi Tito Livio, Peregrinatio, Edizione critica, traduzione e commento a c. di Clara Fossati, Firenze, Sismel – Edizioni del Galluzzo, 2012.

Frulovisi Tito Livio, Emporia, Edizione critica, traduzione e commento a c. di Clara Fossati, Firenze,  Edizioni del Galluzzo, 2014.

Machiavel Nicolas, La Clizia (1525), édition bilingue de Fanélie Viallon, Chemins de Tr@verse, coll. « Chemins it@liques », 2013 (EAN13 :9782313004142).

Vicente Gil, Auto de la Sibille Cassandre (1513), Paul Teyssier ed. & trad., in Robert Marrast dir., Le Théâtre espagnol au XVIe siècle, Paris, Gallimard, « La Pleiade », 1983.

Vicente Gil, Auto de la Barque du Paradis (1519), Paul Teyssier ed. & trad., in Robert Marrast dir., Le Théâtre espagnol au XVIe siècle, Paris, Gallimard, « La Pleiade », 1983

Vicente Gil, Tragi-comédie de D Duardos (1525), Paul Teyssier ed. & trad., in Robert Marrast dir., Le Théâtre espagnol au XVIe siècle, Paris, Gallimard, « La Pleiade », 1983.

Vicente Gil, La Plainte de Maria La Noiraude (1522), édition critique et traduction de Paul Teyssier, Paris, Chandeigne, 1995.

Vicente Gil, La Barque de l’Enfer (1517), édition critique et traduction de Paul Teyssier, Paris, Chandeigne, 2000.

 

 

Publications, bulletin automne-hiver 2012-2013

Publications, automne-hiver 2012-2013

I. Textes

– Biondo, Flavio, Roma instaurata / Rome restaurée, Tome 2, ivre 2, texte, trad., intr. et notes A. Raffarin-Dupuis, Paris, Les Belles Lettres (« Classiques de l’Humanisme »), 2012.

– Campanella, Tomaso, Ethica. Quaestiones super Ethicam, éd. G. Ernst et O. Catanorchi, Pisa, Edizioni della Normale, 2012.

– Erasme, Jules, privé du paradis !, trad. et intr. S. Bluntz, Paris, Les Belles Lettres, 2012.  

Fonzio, Bartolomeo, Poesías latinas, éd., trad., notes V. Bonmati Sanchez, Valencia, Institucio Alfons el Magnanim, 2012.

Meara, Dermitius, The Tipperary Hero (1615), éd. et trad. Anglaise K. Sidwell et D. Edwards, Turnhout, Brepols (coll. « Officina neolatina »), 2012.

– Muret, Marc-Antoine de, Jules César, intr., éd. et notes G. Cardinali, trad. P. Laurens, Paris, Les Belles Lettres (« Classiques de l’Humanisme »), 2012.

– Pétrarque, Lettres de la vieillesse (Seniles), tome V, Paris, Belles Lettres (« Classiques de l’Humanisme »), 2012.

– Pomponazzi, Pietro, Traité de l’immortalité de l’âme (Tractatus de immortalitate animae), tx. et trad. T. Gontier, Paris, Les Belles Lettres (« Classiques de l’Humanisme »), 2012.

– Pontano, Giovanni, Dialogues, Volume 1.Charon and Antonius, trad. J. H. Gaisser, Cambridge (MA)-Londres, Harvard University Press (“The I Tatti Renaissance Library” 54), 2012.

Pontano, Giovanni, La fortuna, a cura di F. Tateo, Napoli, La scuola di Pitagora, 2012.

Sainte-Marthe, Scévole de, Œuvres complètes, Tome II. Publications 1569-1572 : Canticorum Paraphrasis Poëtica (1573), Hymne de G. Aubert (circa 1573), éd. J. Brunel, Genève, Droz, 2012.

A paraître

          Alberti, Momus, éd., trad., notes et comm, Paris, Belles Lettres (« Classiques de l’humanisme »).

          Boccace, Des dames de renom / De claris mulieribus, éd. et trad. J.-Y.  Boriaud, Paris, Les Belles Lettres (« Classiques de l’humanisme »).

          Bérauld, Nicolas, Praelectio et commentaire à la Silve Rusticus d’Ange Politien [1513], éd., trad. et comm. P. Galand, Genève, Droz (« Travaux d’Humanisme et Renaissance »).

          Nifo, Agostino, La solitude / De solitudine, éd., trad., notes et étude introductive L. Boulègue, Paris, Les Belles Lettres (« Classiques de l’humanisme »).

          Vives, Juan Luis, De tradendis disciplinis, éd., trad. et comm. T. Vigliano, Paris, Les Belles Lettres (« Le miroir des humanistes »), janv.-févr. 2013.

II. études

– Adams A. et Ford Ph. (éds.), Le livre demeure : Studies in Book History in Honour of Alison Saunders, Genève, Droz, 2001.

– Baby H. et Rieu J. (dir.), La douceur en littérature de l’Antiquité au XVIIe siècle, Paris, Garnier, 2012.

– Bernard-Pradelle L. et Lechevalier C. (dir), Traduire les Anciens en Europe du Quattrocento à la fin du XVIIIe siècle : d’une renaissance à une révolution ?, Paris, PUPS, 2012.

– Black, Robert, Studies in Renaissance Humanism and Politics : Florence and Arezzo, Farnham, AShgate variorum, 2011.

– Bloch D., John of Salisbury on Aristotelian Science, Turnhout, Brepols, 2012.

– Bockdam S., Métamorphoses de Morphée. Théories du rêve et songes poétiques à la Renaissance, en France, Paris, Champion, 2012.

Botley P., Van Miert D., De Jonge H, Grafton A., Kraye J.,  The Correspondence of Joseph Jules Scaliger, Genéve, Dros (coll. « Travaux d’Humanisme et de Renaissance »), 2012, 

– Breitenstein R.-C. et Vigliano T. (éds.), Le choix de la langue dans la construction des publics en France à la Renaissance, intr. Ph. Selosse, Paris, Champion, 2012.

– Caby C. et Dessi R. M., Humanistes, clercs et laïcs dans l’Italie du XIIIe au début du XVIe siècle, Turnhout, Brepols, 2012.

– Courcelles D. (de) et Martines Peres V. (dir.), Pour une histoire comparée des traductions. Traductions des classiques, traductions du latin, traductions des langues romanes du Moyen Âge et de la première Modernité, Paris, Champion, 2012.

– Emison, Patricia A., The Italian Renaissance and Cultural Memory, Cambridge, Cambridge University Press, 2012.

– Gary, Ianziti, Writing History in Renaissance Italy : Leonardo Bruni and the Uses of the Past, Cambridge M. A., Harvard University Press, 2012. 

– Gambino-Longo S. (éd.), Hérodote à la Renaissance, Turnhout, Brepols, 2012.

– Gourouchov N., Naissance de l’Université. Les écoles de Paris d’Innocent III à Thomas d’Aquin (v. 1200 – v. 1245), Paris, Champion, 2012.

–  Grisolia R. et Matino G. (dir.), Forme e modi delle lingue e dei testi tecnici antichi, Napoli, M. d’Auria, 2012.

– Gwynne P., Poets and Princes. The Panegyric Poetry of Johannes Michael Nagonius, Turnhout, Brepols, 2012.

– Hirai H., Medical Humanism and Natural Philosophy : Renaissance Debates on Matter, Life, and the Soul, Leiden, Brill, 2011.

– Jouanno C. (éd.), Figures d’Alexandre à la Renaissance, Turnhout, Brepols, 2012.

– Mack P., A History of Renaissance Rhetoric, 1380-1620, Oxford, Oxford University Press, 2011.

Nardi B., Naturalismo e Alessandrismo nel Rinascimento, Brescia, Torre d’Ercole, coll. Aevum viride, 2012.

– Rolet A. (dir.), Allégorie et symbole : voies de dissidence ? (De l’Antiquité à la Renaissance), Rennes, Presses Universitaires de Rennes (coll. « Interférences »), 2012.

– Savarese G., Un frate neoplatonico e il Rinascimento a Roma, a cura di C. Cassiani, Roma, Roma nel Rinascimento, 2012.

– Tramontana S., Le parole, le immagini, la storia, a cura di C. M. Rugolo, prés. V. Fera et A. Pennisi, Messina, Centro Interdipartimentale di Studi Umanistici, 2012.

– Veltri G. et Miletto G. (éds.), Rabbi Judah Moscato and the Jewish Intellectual World in Mantua in 16th-17th Century, Leiden, Brill, 2012.

 

A paraître

– Boulègue L., Casanova-Robin H. et Lévy C. (éds.), Le tyran et sa postérité de l’Antiquité à la Renaissance, Paris, Classiques Garnier.

– Beer S. (de), The Poetics of Patronage. Poetry as Self-Advancement in Giannantonio Campano, Turnhout, Brepols.

– Duché-Gavé V., Lardon S. et Pineau G., Jean de Sponde (1557-1595). Un humaniste dans la tourmente, Paris, Garnier.

– Galand P. et Laigneau S. (éds.), La « silve ». Histoire d’une écriture libérée en Europe de l’Antiquité au XVIIIe siècle, Turnhout, Brepols.

– Leroux V. et Séris É. (dir.), Anthologie des poétiques latines de la Renaissance, Genève, Droz.

III. Revues

Camenae, 12 (2012) : La poétique d’Horace et sa réception, dir. R. Glinatsis, http://www.paris-sorbonne.fr/la-recherche/les-unites-de-recherche/mondes-anciens-et-medievaux-ed1/rome-et-ses-renaissances-art-3625/article/camenae-no-12

Camenae, 13 (2012) : sur la réception d’Horace ˗ Le génie de la formule ; la notion de decorum ˗  double numéro, dir. N. Dauvois et M. Magnien,  http://www.paris-sorbonne.fr/la-recherche/les-unites-de-recherche/mondes-anciens-et-medievaux-ed1/rome-et-ses-renaissances-art-3625/article/camenae-13

Camenae, 14 (2012) : La géographie des humains ou l’œil de la morale, dir. S. Gambino Longo, http://www.paris-sorbonne.fr/la-recherche/les-unites-de-recherche/mondes-anciens-et-medievaux-ed1/rome-et-ses-renaissances-art-3625/revue-en-ligne-camenae/article/camenae-14

– E-Spania http://e-spania.revues.org/20968 (Poètes de l’Empereur, dir. R. Béhard).

Renaissance Quaterly, vol. LXV- 2 (summer 2012).

Renaissance Quaterly, vol. LXV- 3 (fall 2012).

Renaissance Quaterly, vol. LXV- 4 (winter 2012).

Seizième siècle, 8 (2012) : Les textes scientifiques à la Renaissance.